ANALOGIES LINGUISTIQUES. DU FLAMAND DANS SES RAPPORTS AVEC LES AUTRES IDIOMES Par P. LEBROCQUY. Ich hatte keine Lieblingsmeinung, keine Hypothese Je n'avais pas à prendre pour base quelque idée ADELUNG, MITHRIDATES, préface, page XI, BRUXELLES, Librairie ancienne et moderne de A. VAN DALE, éditeur, 1845. Nous écrivons un livre qui traite spécialement du flamand, qui préconise la connaissance du flamand comme un moyen infaillible de savoir dans un espace de temps fort court tous les idiomes qui ont avec lui une origine commune, qui vante ce même flamand comme bien supérieur à la langue française, et cependant ce livre, nous l'écrivons en français. On pourra nous demander la raison de cette bizarrerie apparente. Sans doute il eût été plus sûr et plus commode pour nous de nous servir de notre langue maternelle; mais le but même de notre publication nous force à renoncer à cet avantage; nous nous adres |