Publications assyriennes de M. Joachim Ménant, ©ºÑº·Õè 1-7

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B. Duprat, 1859

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˹éÒ 40 - Borsippa), fut bâti par un roi antique (on compte de là quarante-deux vies humaines), mais il n'en éleva pas le faîte. Les hommes l'avaient abandonné depuis les jours du déluge (?), en désordre proférant leurs paroles. Le tremblement de terre et le tonnerre avaient ébranlé la brique crue, avaient fendu la brique cuite des revêtements; la brique crue des massifs s'était éboulée en formant des collines. Le grand Dieu...
˹éÒ 16 - Mcmoir on thc batiylortian and assyrian inscription, f. 4 dans le Journal de la Société asiatique de Londres , vol. XIV, part. 7. minée, est le signe royal: l'œil le saisit, en effet, avec facilité dans les inscriptions trilingues et il ne l'oublie pas. Le mot qui veut dire ROI dans le texte arien se lit Khshayathiya, c'est le mot sanscrit Kchatriya; il se lit dans le texte médo-scythique Kai, Ko ou Khan; c'est encore le sanscrit Kai, ou le zend Kava ; c'est toujours la transcription bien caractérisée...
˹éÒ 84 - Achéménides existait encore dans le peuple à cette époque ? Le document nous montre une orthographe qui témoigne ou de l'ignorance du peuple, ou de la décadence rapide de la langue, ou peut-être de ces deux circonstances réunies.
˹éÒ 66 - Perses, ouvrage contenant le texte zend expliqué pour la première fois, les variantes des quatre manuscrits de la Bibliothèque royale et la version sanscrite inédite de Nériosengh.
˹éÒ 96 - Perses et lesMèdes parlaient la même langue. Cet idiome a laissé des traces évidentes dans plusieurs dialectes, tels que le zend, le persan moderne, le turc, le mongol, l'arménien, le géorgien et la langue des Tsiganes ; mais le turc, plus que les autres langues congénères, présente des débris fort reconnaissables de l'ancienne langue des Mèdes. L'écriture était syllabique, c'est-à-dire qu'un signe...
˹éÒ 73 - Saint-Martin ; il était déjà en avance sur ces découvertes , par l'étendue des matériaux qu'il avait eus à sa disposition. Dans le courant de 1837, il copia les autres paragraphes de la grande inscription de Bisitoun , et pendant l'hiver de cette même année, croyant que la lecture de ces textes n'avait fait aucun progrès depuis Saint-Martin, il envoya à la Société asiatique de Londres la traduction des deux premiers paragraphes de celte inscription, qui rappelaient les titres et la généalogie...
˹éÒ 131 - L'inscription qu'il prit pour sujet de ses études est celle de l'Elvend ', qui était alors connue par les copies de Schulz, de Texier et enfin par celles de Coste et Flandin. Après avoir comparé ces trois textes, il parvint facilement à s'assurer des erreurs de transcription qui auraient pu égarer ses recherches sur la forme de quelques caractères, et il réussit promptement à séparer le texte assyrien en petites phrases correspondant, mot pour mot, au texte perse. Le résultat d'une analyse...
˹éÒ 23 - Au surplus , dit-il dans sa relation (1) , personne ne peut dire quels sont ces caractères, ni à quelle langue ils appartiennent ; ils sont d'une grandeur prodigieuse , ils ne sont point liés ensemble pour former des mots , ils sont séparés comme les caractères hébreux. J'en ai copié cinq, du mieux que j'ai pu.
˹éÒ 15 - Il est certain aujourd'hui que les rois du premier Empire de Chaldée appartenaient à la même race que leurs derniers successeurs, et qu'ils parlaient une langue qui s'est perpétuée jusque sous les Achéménides, depuis les bouches du Nil jusqu'aux montagnes de l'Arménie , avec cette vitalité propre aux langues sémitiques et qui en fait un des caractères les plus saillants.
˹éÒ 72 - ... et sanscrite, qu'une voyelle, d'une prononciation très-brève , a pu disparaître de ce mot ; et , quant à la suppression de l'aspirée, lettre nécessaire dans Ahura, on comprend également qu'une écriture , qui considérait chaque voyelle comme essentiellement accompagnée d'une aspiration faible , pouvait se passer de l'exprimer dans la transcription de ce mot. Il ya donc un désaccord évident entre la langue de nos inscriptions et le caractère avec lequel elles...

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