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de Cimon avait coupé les vignes, les oliviers. Il fallut à Thasos de longues années pour se refaire. Doit-on croire que vingt ans après, elle avait suffisamment réparé ses pertes pour être taxée, non plus à trois talents, mais à trente? Assurément non. L'énormité de la différence entre les deux sommes exige une autre explication. C'est bien celle qu'a vue Boeckh: les Athéniens ont restitué à Thasos une source importante de revenus, que durant vingt ans ils s'étaient appropriée. Mais cette restitution ne doit pas s'entendre de Scaptésylé, qu'il n'était pas du pouvoir des Athéniens de rendre, puis qu'ils ne la possédaient point, et qu'ils n'auraient pas lâchée, s'ils l'avaient tenue. Les Athéniens ont rendu aux Thasiens seulement les comptoirs de la Pérée, Galepsos, Apollonie, Œsymé. Ils les avaient exploités vingt ans : c'est pourquoi jusqu'en 445 il n'en est pas fait mention dans les listes du pazizòs pógos. Rendus à Thasos en 445, les uлógia de la Pérée durent faire, depuis cette date jusqu'à l'aлórağıç de 425/41), partie intégrante de la république thasienne: c'est pourquoi de 445 à 425/4, les listes du Cognizòs gogos continuent à être muettes à leur sujet. Et il ne nous est point parvenu de liste complète du Ogazizòs pógos postérieure à 425/4. J'insiste là-dessus, parce qu'on s'y est trompé 2): on a cru que Néopolis (Neóлolis лaqà 'Arrioαqav), (Νεόπολις παρὰ qui figure sur les listes du tribut, était un comptoir thasien, et que la ville de Galepsos, qui y figure aussi, était le comptoir thasien de ce nom, alors qu'il s'agit d'une localité homonyme, située en Chalcidique, dans la presqu'ile sithonienne.

Hérodote avait visité Scaptésylé. Il nous en parle avec précision. Son témoignage ici mérite une confiance absolue. Or il nous dit que, de son temps, les mines du Pangée étaient exploitées par des Thraces. Seule, notre hypothèse concorde avec ce témoignage: les Thraces exploitaient, au temps d'Hérodote 3), toutes les mines du Pangée, tant la mine d'or de Scaptésylé que les mines d'argent éparses sur les versants Nord et Sud. Cinquante ans auparavant, au témoignage du même Hérodote 1), pèche par excès de critique. Il est certain que les anciens employaient de préférence les cheveux de femmes pour fabriquer les cordes de baliste. En 250 avant notre ère, les Rhodiens envoient aux gens de Sinope 300 talents de cheveux de femmes (Polybe, IV, 56). Un des auteurs militaires publiés par Wescher (Foliorcétique des Grecs, p. 112), s'exprime ainsi: ὁδὲ ἐν τοῖς ἀγκῶσι τόνος καὶ ἐκ τριχῶν γίνεται γυναικείων· αὗται γὰρ λεπταί τε ούσαι καὶ μακραὶ καὶ πολλῷ ἐλαίῳ τραφεῖσαι, ὅταν πλακῶσιν εὐτονίαν πολλὴν λαμβάνουσιν, ὥστε μὴ ἀπάδειν τῆς διὰ τῶν νεύρων ἰσχύος. Cf. le travail du major E. Schramm, Bemerkungen zu der Rekonstruktion griech. röm. Geschütze, dans le Jahrbuch der Gesell. f. lothring. Geschichte, 1904, p. 147.

1) Sur cette question, voir mon article Le Yaμo9oṛzizós d'Antiphon et la Pérée samothracienne (Revue des études grecques, 1909, p. 33).

2) Par ex. Perrot, Thasos, p. 30: „Les anciens comptoirs de Thasos figurent séparément, comme villes sujettes, dans la liste des alliés d'Athènes".

3) Hérodote, VII, 112: μέταλλα, τὰ νέμονται Πιερές τε καὶ Οδόμαντοι καὶ μάλιστα Σάτραι. 4) VI, 46.

Scaptésylé était exploitée par les Thasiens. C'est donc qu'entre le début du Ve siècle et la date où Hérodote visita le Pangée, les mines avaient été reprises aux Thasiens par les Thraces.

Il est vrai qu'une inscription attique de la fin du Ve siècle mentionne. à deux reprises, dans le trésor d'Athéna, des lingots d'or scaptésylique. φθοῖδες χρυσίου σκαπτησυλικοῦ 1). Il n'en faudrait pas conclure qu'Athènes ait jamais possédé Scaptésylé. Les trésoriers des iɛoà zonuara reconχρήματα naissaient ces lingots comme provenant de Scaptésylé, peut-être à leur composition, d'après la couleur de la trace sur la pierre de touche 2), plus probablement aux marques dont ils étaient poinçonnés. Il ne nous est point parvenu de lingots d'or de cette époque ancienne, mais nous en avons plusieurs de l'époque romaine 3). Ceux-ci portent des poinçons indiquant le titre et l'origine. Les lingots du Ve siècle, ceux dont parle l'inventaire attique du Musée Britannique. devaient porter des marques analogues. Ces lingots de l'Acropole étaient des offrandes. Qui les avait dédiés? Quelque roi thrace, pilaðývaios væɛo¶võs1), Sitalcès l'Odryse, Pollis l'Odomante? Je les attribuerais plutôt à quelque riche Athénien intéressé à l'exploitation de Scaptésylé. Les Thraces avaient repris les zovoɛia, mais ils n'étaient pas si sots que d'en défendre l'accès aux capitalistes grecs. Nous connaissons un Athénien qui avait de grands intérêts dans le placer" de Scaptésylé: c'est Thucydide l'historien. Il est possible que les q9oides de l'Acropole aient été offertes par Thucydide lui-même, comme dлagдý de ses bénéfices. Thucydide nous dit qu'il avait au Pangée κτησιν τῶν χρυσείων μετάλλων ἐργασίας ἐν τῇ περὶ ταῦτα Ogázy). Il s'agit assurément de Scaptésylé, qui était à cette époque la seule mine d'or de la Thrace occidentale (les mines de Philippes ne furent découvertes qu'au siècle suivant). Le biographe de Thucydide, Marcellin, assure que l'historien avait épousé une héritière de Scaptésylé, et que c'est ainsi qu'il se trouvait intéressé dans l'exploitation des placers" pangéens 6). Cette tradition ne mérite point créance. Marcellin, et Plutarque aussi1), ont mal compris Thucydide; la légende de la riche héri

1) IG, I, 184-5 et suppl. p. 33-4. Date probable 410 (Cavaignac, Etudes, p. XXVIII et 153). Dans les deux passages, le mot ozarıŋovhizoù est mutilé; mais la restitution est certaine. Elle est dûe à Hicks, Ancient greek inscr. in the Brit. Mus., I, p. 55.

2) Harpocration, s. r. βάσανος ̓Αντιφῶν. Λίθος οὕτω καλεῖται ἡ τὸ χρυσίον παρατριβόμενον δοκιμάζεται. Cf. Stein ad Herod. VII, 10.

3) Trouvés à Sirmium de Pannonie en 1887. Excellentes reproductions dans Arch. ep. Mitt. XII, pl. 2 et 3. Cf. Hill, A handbook of greek and roman coins, p. 137; Babelon, Traité I, col. 882; Daremberg-Saglio, fig. 5020. 4) Aristoph. Acharniens, 142. 5) IV, 105. — 6) Vita Thuc. $ 19 ηγάγετο γυναῖκα ἀπὸ Σκαπτησύλης τῆς Θράκης πλουσίαν σφόδρα καὶ μέταλλα κεκτημένην ἐν τῇ Θράκῃ.

7) Cimon, IV, 2 τὰ χρυσεῖα περὶ τὴν Θράκην ἐκέκτητο. Plutarque dit que les zovoɛła venaient à Thucydide de son trisaïeul le roi thrace Oloros. Assertion erronée: Oloros n'avait pas régné au Pangée, mais en Chersonèse (Hérodote, VI, 39,

tière est née d'un contre-sens. Thucydide ne dit pas qu'il possédát la mine d'or de Scaptésylé, ni en totalité, ni en partie. Elle était aux Thraces, ils ne l'auraient pas plus aliénée que l'état athénien n'aliénait les mines d'argent du Laurium. Thucydide, sur une concession prise à bail, possédait une exploitation, zow igyaoias, avec laveries, ateliers. hangars, etc. Il n'est pas nécessaire, pour s'expliquer la chose, de supposer avec les grammairiens de l'antiquité, que comme le Théséide de la légende ou comme son bisaïeul Miltiade, il eût épousé une héritière thrace. De qui avait-il pris à bail sa concession? Non pas certes de Thasos, ou d'Athènes, mais des Thraces. Car lorsque les Athéniens, le rendant responsable de la prise d'Amphipolis par Brasidas, punirent de l'exil „ce richard qui avait livré l'Epithrace" 1), c'est à Scaptésylé qu'il se retira. Si Scaptésylé avait appartenu à Athènes ou à une ville alliée d'Athènes, un banni athénien n'y aurait pas trouvé asile. Car la perte d'Amphipolis n'avait pas anéanti la puissance d'Athènes dans cette région. Les expéditions se multipliaient pour reprendre la ville d'Hagnon. Cléon en 423, Evétion en 414. Cléon avait repris Galepsos 2), la flotte d'Evétion avait stationné plusieurs mois dans l'estuaire du Strymon 3). Thasos ne devait se détacher qu'en 412 de l'alliance d'Athènes. Néopolis, en haine de Thasos, resta fidèle alliée d'Athènes pendant toute la guerre du Péloponnèse ): or Néopolis est de toutes les places de la côte la plus rapprochée de Scaptésylé. Thucydide n'était en sûreté dans sa concession que parce qu'elle était située hors des limites de l'empire athénien, hors de l'atteinte de ces commissaires qu'Athènes envoyait en tournée chez ses alliés et sujets). Appien ") mentionne non loin de Philippes des mines d'or du nom d'Aovia. Il ne faut pas les identifier avec Scaptésylé, et sans doute au temps de Thucydide elles n'existaient pas encore. Leur nom n'en est pas moins instructif. Déjà, au Ve siècle, Scaptésylé devait être un asile pour plus d'un bauni, comme aujourd'hui, plus d'un raya grec en délicatesse avec la justice turque trouve refuge aux mines du Laurium.

Peut-on indiquer, au moins d'une façon approximative, l'endroit où se trouvait Scaptésylé?

Une tradition, rapportée par Marcellin, nous montre Thucydide écri

avec le commentaire de Stein; cf. Classen-Steup, Thukydides-Ausg., t. I, p. XIII, et Kirchner, Prosop. att., II, p. 470).

1) Aristophane, Guépes, 288/9 ἀνὴρ παχὺς ... τῶν προδόντων τἀπὶ Θράκης. C'est G. Hermann qui a reconnu le premier dans ce passage des Guêpes une insulte à l'adresse de Thucydide.

2) Thucydide, V, 6. 3) Thucydide, VII. 9; Aristophane, Oiseaux, 1369. 4) Hicks-Hill, Greek hist. inser. no. 75.

5) Aristophane, Oiseaux, 1022; Antiphon, Пlegi tov Ardior fógov et Karà la σποδίου (Blass fr. 23), cité par Harpocration, s. v. ἐπίσκοπος.

6) Guerres civiles, IV, 106 Φιλίππων μὲν οὖν ἐστιν ἕτερος λόφος οὐ μακράν, ὃν Διονύσου λέγουσιν, ἐν ᾧ καὶ τὰ χρυσεῖα ἐστι τὰ ̓́Ασυλα καλούμενα.

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vant l'Histoire de la guerre du Péloponnèse dans sa propriété de Scaptésylé, à l'ombre d'un grand platane, διατρίβων ἐν Σκαπτῇ ὕλῃ ὑπὸ πλατάνῳ ἔγραφε). Quoiqu'il y ait de très beaux platanes dans le pays pangéen, je n'oserais garantir que celui dont parle Marcellin eût des droits à la vénération des curieux qui le vinrent voir à l'époque impériale (il devait passer par Philippes bien des touristes, qui se rendaient en Asie en suivant la voie Egnatienne). Mais je ne crois pas nécessaire de contester l'existence de cette tradition tardive et de corriger πλατάνῳ en Παγγαίῳ 3). Les anciens se figuraient Thucydide écrivant l'Histoire de la guerre du Péloponnèse à l'ombre de son platane, parce que le platane était préposé, si je puis dire, au soin d'abriter les doctes travaux de la littérature1): Thucydide sous son platane", sujet de bas-relief dans le goût hellénistique, pour bibliothèque ou villa d'homme de lettres. Scaptésylé, nous assure l'auteur de la conjecture ci-dessus, se trouvait au pied du Pangée riche en or." Mais justement parce que le Pangée était riche en or, il faut chercher Scaptésylé dans le Pangée même, non au pied du Pangée. Hérodote dit expressément que les Satres qui exploitaient la plupart des mines du Pangée, habitaient les forêts qui, en-dessous des neiges, couvrent encore aujourd'hui la partie orientale de la montagne; mais il n'y avait pas de forêt au pied de la chaîne, ni dans la plaine marécageuse de Philippes. ni dans la vallée piérienne, ni sur le glacis du versant septentrional. La „forêt fossoyée“, ozɑлıη ölŋ, se trouvait donc, non pas sous le Pangée, mais assez haut dans la montagne. Les Pières), les Edones, les Odomantes exploitaient les argentières qui se trouvaient les unes dans le versant Sud, les autres dans le versant Nord-Ouest. C'est à celles du Nord-Ouest que Mégabaze pensait quand il redoutait qu'Histiée, maitre de Myrcinos en Edonie, ne mit la main sur les mines d'argent ). La partie orientale de la chaine appartenait aux Satres: oizéovoi tε yào ὅρεα υψηλά, ἴδῃσί τε παντοίῃσι καὶ χιόνι συνηρεφέα *). C'est en effet, comme on s'en convaincra en se reportant à la carte autrichienne, non seulement la seule partie boisée de la chaine, mais la partie la plus élevée.

Les travaux de mines exécutés par les anciens dans le Pangée n'ont pas encore été étudiés par des spécialistes, ou du moins, les prospecteurs et les ingénieurs qui ont pu visiter le Pangée, n'ont pas, que je sache. publié leurs observations. Nous en sommes donc, pour l'étude de cet in

1) Vita Thuc., § 25. Cf. A. Croiset, Thucydide l. I et II, p. 12. 2) Friedländer, Sittengeschichte, t. II, p. 29.

3) Hirschwälder ap. Jahrb. f. class. Philol. 1883, p. 32. Steup (Thukydides éd. Classen*, t. I, p. XXVII) trouve cette conjecture recht wahrscheinlich“.

4) IG, XIV, 1011 et Juvénal, Sat. I, 12 Frontonis platani, avec les remarques d'A. v. Premerstein ap. Hermes, 1908, p. 321.

5) Herod. VII, 112 τὸ Πάγγαιον ὄρος . . . ἐὰν μέγα τε καὶ ὑψηλόν, ἐν τῷ χρύσεα τε καὶ ἀργύρεα ἔνι μέταλλα, τὰ νέμονται Πιερές τε καὶ ̓Οδόμαντοι καὶ μάλιστα Σάτραι. 6) Hérod. V, 23. 7) Hérod. VII, 111.

téressant district, au point où se trouvait Boeckh, quand il écrivait son célèbre mémoire sur les mines de l'Attique. L'archéologue et l'historien doivent attendre la reprise (si elle se produit jamais) de l'industrie minière dans le Pangée, pour rédiger, comme Ardaillon l'a fait au Laurium, les observations des ingénieurs sur les travaux des anciens. Je ne puis donc examiner en connaissance de cause ce que Lucrèce, on ne sait d'après quelle source, rapporte de Scaptésylé 1):

Nonne vides etiam terra quoque sulpur in ipsa

gignier et taetro concrescere odore bitumen ;
denique ubi argenti venas aurique secuntur,
terrai penitus scrutantes abdita ferro,
qualis expiret Scaptensula subter odores?

quidre mali fit ut exhalent aurata metalla!

Je crois d'ailleurs qu'il ne faut pas s'exagérer l'importance des vestiges qu'ont pu laisser les zovocia de Scaptésylé. L'emplacement exact en sera peut-être très malaisé à déterminer. Qu'on ne m'objecte pas le Laurium, où subsistent, comme le dit Strabon 2) des mines d'Astуra, лollǹ Èxßoli καὶ ὀρύγματα, σημεῖα τῆς πάλαι μεταλλείας – car l'objection témoignerait d'une confusion entre deux exploitations minières en général très différentes, au moins chez les anciens, étant donné les moyens dont ils disposaient. Les argentières éparses dans le Pangée ont dù laisser comme Laurium, des galeries, des amas de scories, des laveries 3). Peut-être

1) VI, 807-811. Cf. Festus p. 147 Müller Scaptensula, locus ubi argentum effoditur in Macedonia. Lachmann dérivait Scaptensula de Zzaлti "Yin, forme de basse époque qu'on trouve dans Plutarque, De exil. 14 et Marcellin, Vita Thuc. 25; l's représenterait l'aspiration de 2 (cf. silva). Mais dans le dialecte ionien qu'on parlait au Pangée, l'aspiration ne devait plus être sensible à ce point. Scaptensula doit dériver de Ezarŋovin, qui est la forme ancienne, attestée par IG, I, suppl. p. 33—4 χρυσίου σκαπτησυλικού et par Etienne s. v. Σκαπτησ ύλη πόλις Θράκης μικρὰ ἀντικρὺ Θάσου· τὸ ἐθνικὸν Σκαπτησυλίτης, et Καρδαμύλη.... τὸ ἐθνικὸν Καρδαμυ airns, is Exantnoviitng (add. Marcellin, Vita Thuc. 14. Dans Hérodote VI, 46, Théophraste, De lapid. 17, Plutarque, Cimon, 4 et Eustathe ad Dionys. Perieg. 517, on ne sait s'il faut lire Exaлtηoving ou Exantis 'Ying). Pour l'n dans Scaptensula, cf. Sommer, Lat. Laut- u. Formenlehre (Heidelberg, 1902), p. 256. La disparition, en latin, du son nasal, après une longue et devant s (par exemple dans mensa, qu'on prononçait mesa), a eu assez souvent pour effet que dans l'orthographe, après une longue et devant s, s'est glissé un n dont l'étymologie ne saurait rendre compte. Parce qu'on prononçait thesaurus comme on prononçait mēsa, on a écrit thensaurus, comme on écrivait mensa; peut-être même se trouvait-il des gens pour prononcer thensaurus, de même que chez nous les instituteurs primaires prononcent domp'teur, sculp'teur et font sonner les doubles lettres. Dans l'Appendix Probi (IV, 198 Keil), occansio pour occasio; dans CIL, V, 4220 Inside pour Isidi, III, 673 herens pour heres.

2) XIV, p. 680.

3) Athénée, II, 16, p. 42 τὰ δὲ πρὸς τοῖς περὶ Πάγγαιον μετάλλοις (ὕδατα), τοῦ μὲν χεια ὤνος τὴν κοτύλην ἄγουσαν ἔχει ἐννενήκοντα ἕξ, θέρους δὲ τεσσαράκοντα ἕξ. I s'agit peut-être des sources dont l'eau servait aux laveries. Une circonstance aug

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