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téressant district, au point où se trouvait Boeckh, quand il écrivait son célèbre mémoire sur les mines de l'Attique. L'archéologue et l'historien doivent attendre la reprise (si elle se produit jamais) de l'industrie minière dans le Pangée, pour rédiger, comme Ardaillon l'a fait au Laurium. les observations des ingénieurs sur les travaux des anciens. Je ne puis donc examiner en connaissance de cause ce que Lucrèce, on ne sait d'après quelle source, rapporte de Scaptésylé 1):

Nonne vides etiam terra quoque sulpur in ipsa

gignier et taetro concrescere odore bitumen;
denique ubi argenti venas aurique secuntur,
terrai penitus scrutantes abdita ferro,
qualis expiret Scaptensula subter odores?

quidre mali fit ut exhalent aurata metalla!

Je crois d'ailleurs qu'il ne faut pas s'exagérer l'importance des vestiges qu'ont pu laisser les ovocia de Scaptésylé. L'emplacement exact en sera peut-être très malaisé à déterminer. Qu'on ne m'objecte pas le Laurium, où subsistent, comme le dit Strabon 2) des mines d'Astуra, лoλỳ Exßodij καὶ ὀρύγματα, σημεῖα τῆς πάλαι μεταλλείας – car l'objection témoignerait d'une confusion entre deux exploitations minières en général très différentes, au moins chez les anciens, étant donné les moyens dont ils disposaient. Les argentières éparses dans le Pangée ont dû laisser comme Laurium, des galeries, des amas de scories, des laveries). Peut-être

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au

1) VI, 807-811. Cf. Festus p. 147 Müller Scaptensula, locus ubi argentum effoditur in Macedonia. Lachmann dérivait Scaptensula de Ezarri "Yin, forme de basse époque qu'on trouve dans Plutarque, De eril. 14 et Marcellin, Vita Thuc. 25; 1's représenterait l'aspiration de 2n (cf. silra). Mais dans le dialecte ionien qu'on parlait au Pangée, l'aspiration ne devait plus être sensible à ce point. Scaptensula doit dériver de Exarηovin, qui est la forme ancienne, attestée par IG, I, suppl. p. 33-4 χρυσίου σκαπτησυλικού et par Etienne s. v. Σκαπτησ ύλη πόλις Θράκης μικρὰ ἀν τικρὺ Θάσου· τὸ ἐθνικὸν Σκαπτησυλίτης, et Καρδαμύλη,... τὸ ἐθνικὸν Καρδαμύ hirns, we Exantnoviitng (add. Marcellin, Vita Thuc. 14. Dans Hérodote VI, 46, Théophraste, De lapid. 17, Plutarque, Cimon, 4 et Eustathe ad Dionys. Perieg. 517, on ne sait s'il faut lire Ezantηoving ou Exantÿç 'Ying). Pour l'n dans Scaptensula, cf. Sommer, Lat. Laut- u. Formenlehre (Heidelberg, 1902), p. 256. La disparition, en latin, du son nasal, après une longue et devant s (par exemple dans mensa, qu'on prononçait mesa), a eu assez souvent pour effet que dans l'orthographe, après une longue et devant s, s'est glissé un n dont l'étymologie ne saurait rendre compte. Parce qu'on prononçait thesaurus comme on prononçait mēsa, on a écrit thensaurus, comme on écrivait mensa; peut-être même se trouvait-il des gens pour prononcer thensaurus, de même que chez nous les instituteurs primaires prononcent domp'teur, sculpteur et font sonner les doubles lettres. Dans l'Appendix Probi (IV, 198 Keil), occansio pour occasio; dans CIL, V, 4220 Inside pour Isidi, III, 673 herens pour heres.

2) XIV, p. 680.

3) Athénée, II, 16, p. 42 τὰ δὲ πρὸς τοῖς περὶ Πάγγαιον μετάλλοις (ὕδατα), τοῦ μὲν χεια ῶνος τὴν κοτύλην ἄγουσαν ἔχει ἐννενήκοντα ἕξ. θέρους δὲ τεσσαράκοντα έξ. 11 s'agit peut-être des sources dont l'eau servait aux laveries. Une circonstance aug

σκαπτὴ ὕλη.

faudra-t-il chercher les amas de scories et les laveries non dans la montagne même, mais à ses pieds: le minerai, je suppose, était transporté à dos de mulets dans les villages du bas, où l'eau était en plus grande abondance que dans les hauteurs. Quant aux galeries creusées pour suivre les filons de plomb argentifère, elles doivent subsister: un boyau de mine, taillé dans la pierre à la pointe et au ciseau, c'est en son genre une oeuvre ɛiç dɛí. Les gens du pays parlent de galeries, qui existeraient dans la région orientale de la montagne, celle-là même où devait se trouver Scaptésylé 1). Mais l'exploitation de l'or, telle qu'on devait la pratiquer au Pangée ne produisait pas d'amas de scories chimiques et ne forait pas les profondeurs. Les travaux d'extraction étaient à fleur de sol. Ainsi s'explique le nom de oxaлth in. Ainsi s'explique que ces travaux se soient effacés sans laisser de traces. Pour exploiter l'or, les anciens n'avaient pas les moyens mente l'intérêt de ce témoignage: Athénée parait l'avoir emprunté à Théophraste: ἐν δὲ Θράκῃ περὶ τὸ Πάγγαιον ἱστορεῖ Θεόφραστος εἶναι κρήνην, ἀφ' ἧς ταυτὸ γέμον ὕδατος ἀγγεῖον ἱστάμενον χειμῶνος, ἕλκειν διπλάσιον σταθμὸν ἢ θέρους (Plutarque, Quaest. nat. 7; Théophraste fr. 161). Or, Théophraste connaissait certainement d'autopsie la région de Philippes (Hist. pl. II 2, 7. IV 14, 12. 16, 2. V 12, 7. VI 6, 4. VIII 8, 7; De causis plant. V 14, 5). Il paraît avoir herborisé près des mines de Philippes (Hist. plant. IX 13, 4). D'une façon générale, il semble que les observations personnelles dont Théophraste a enrichi l'histoire naturelle ont été faites surtout en Macédoine en donnant à cette expression géographique la valeur qu'elle avait au temps de Théophraste: la Thrace occidentale, autrement dit la région d'Amphipolis, du Pangée et de Daton, avait été annexée par Philippe à la Macédoine. Théophraste possédait une propriété, zoolov, à Stagire (Diog. Laert. V, 2, 52; cf. Zeller, Phil. d. Griech. 3 II 2, p. 806): il paraît avoir surtout connu de la Macédoine, la Thrace Macédonienne et la Chalcidique. Les indications données par O. Kirchner (Die botanischen Schriften des Theophrastos ap. Jahrb. f. class. Phil. suppl. VII, p. 469) devraient sur ce point être complétées et précisées.

1) Pierre Belon, Singularites (Paris, 1554) 1. I, ch. 53: „Nous laissasmes le mont Pangeus à dextre, où encore maintenant on tire des métaux d'argent des minères de la montagne. Ils la nomment Malaca ou bien Castagna . . . En venant à Philippi, passant par les minères de Castagna, j'entendi qu'elles ne bailloient que de l'argent et du plomb et quelque fois bien de l'or, aussi les vei seulement en passant, sans m'y arrester". Il serait imprudent de conclure de ce texte que les argentières du Pangée fussent encore exploitées au XVIe siècle: Belon a dû en entendre parler, à Serrès et à Cavalla, par les λóyo du pays, qui avaient vu dans les livres qu'elles avaient existé jadis. Heuzey (Mission, p. 27) dit que le seul vestige d'exploitations métallurgiques connu aujourd'hui des montagnards „se trouve sous le Pilaf-tépé, au dessus du village actuel de Palæochori“. „Les montagnes du cazas de Zikhna, écrit Verkovitch (Esquisse topographico-ethnographique de la Macédoine, en russe, Pétersbourg, 1889, p. 96), étaient renommées dans l'antiquité pour leurs mines d'or. Les galeries de ces mines subsistent encore dans leur intégrité. L'entrée se trouve dans la partie du Pangée qui regarde Philippes, entre le bourg de Provichta (Pravista) et le monastère Kochintsa. ,Ce monastère (τῆς Εἰκοσιφοινίσσης), le seul qui soit au Pangée, fut fondé au IXe siècle. Un de ses archimandrites, Aauaozvòs Moszóxovios, lui a consacré une savante monographie ("H iɛoà μovi 175 Elx., Constantinople, 1896): elle ne dit rien des mines anciennes. Je n'oserais garantir l'exactitude des renseignements dont Verkovitch s'ést fait l'écho.

wäre eine höchst auffallende Massregel, für die man schlechterdings keinen einleuchtenden Grund finden kann.

2) In gleicher Verlegenheit befindet man sich der Frage gegenüber: wenn Metellus im Juni 251 schon den entscheidenden Sieg über das vorher so gefürchtete Elefantenheer errungen hat, was hat er dann den ganzen Sommer 251 über getan, wie hat er seinen Erfolg ausgenützt? In den Quellen sucht man vergebens nach Material zur Beantwortung dieser Frage.

3) Die Friedensgesandtschaft wird auch von solchen, welche die Schlacht ins Jahr 251 verlegen, dem folgenden Jahr 250 zugeteilt. Darnach wäre zwischen der Schlacht (Juni 251) und der Absendung der Gesandten (Frühling 250) fast ein volles Jahr vergangen; in der Ueberlieferung wird aber das Friedensangebot als direkte Folge des niederschmetternden Eindrucks jener Niederlage bezeichnet.

Er

4) Polybius hat bereits die Wahl der neuen Konsuln für 504 Varr. und den Beginn der Flottenrüstung erwähnt (I, 39, 15), ehe er zu dem Bericht über die Schlacht bei Panormus kommt (I. 40, 1), und I, 41, 2 sagt er, durch die Siegesbotschaft seien die Römer in ihrem schon vorher gefassten Beschluss, die neuen Konsuln mit einer Flotte nach Sizilien zu schicken, nur noch bestärkt worden. Schon die äussere Anordnung bei Polybius spricht somit entschieden gegen die Annahme, dass Metellus am Anfang seines Amtsjahres gesiegt habe. Aber auch der innere Zusammenhang, in den Polybius die Ereignisse bringt, schliesst diese Datierung aus. gibt I, 39, 14 als Motiv für die Rückkehr der Römer zum Seekrieg die Tatsache an, dass das Landheer in Sizilien aus Furcht vor den Elefanten nichts ausrichtete. Dieser πτοία καὶ δυσελπιστία des Landheers hat aber die Schlacht bei Panormus ein Endle gemacht. Folglich kann sie nicht ein ganzes Jahr vor der Wahl der neuen Konsuln und der daraufhin beginnenden Flottenrüstung angesetzt werden, wenn man nicht dem Polybius eine starke Ungenauigkeit und eine irreführende Verschiebung der Ereignisse zumuten will (vg. inoltre la mia cron. della prima punica, pag. 28). Veniamo alla seconda ipotesi: sostenuta questa ultimamente da Luterbacher pag. 416. Riportiamo le sue stesse parole:

Dann fährt Polybius fort: als Hasdrubal erfuhr, dass der eine Feldherr mit der Hälfte des Heeres nach Italien gegangen sei (im Herbste 251), Caecilius aber mit den übrigen Truppen in Panormus weile und die Feldfrüchte der Bundesgenossen schützen wolle, brach er zur Zeit der Ernte mit seiner Heeresmacht von Lilybäum auf und lagerte sich an den Grenzen des Gebietes von Panormus. Keine andere Zeitbestimmung bei Polybius ist klarer als diese; er bezeichnet in Uebereinstimmung mit den kapitolinischen Fasten den Sommer 250, da Atilius und L. Manlius Schiffe bauten.

Ed anche contro quest' ultima ipotesi voglio riferire integralmente le argomentazioni del Leuze, pag. 136:

1) Da das Amtsjahr damals an den Kalenden des Mai begann, so war Metellus im Juni 250 nicht mehr Konsul. Dementsprechend liest man bei den neueren Historikern. soweit sie diese Datierung vertreten, Metellus habe seinen Sieg als Prokonsul erfochten. In den Quellen aber ist nirgends eine Andeutung zu finden, dass die Schlacht nicht mehr in das Amtsjahr des Metellus fiel. Im Gegenteil: von Florus und Eutrop wird sie unter dem Jahrestitel L. Caecilio C. Furio consulibus erzählt; von Diodor, Frontin und Orosius wird der Sieger ausdrücklich als Konsul bezeichnet (Flor. I, 18, 27: Metello igitur consule ... apud Panormum sic hostes cecidit [sc. populus Romanus]. Eutr. II, 24: L. Caecilio Metello C. Furio Placido [fälschlich statt Pacilo] consulibus Metellus in Sicilia Afrorum ducem ... superavit. Diod. exc. XXIII, 21: ἐπιπεσόντος Καικιλίου τοῦ ὑπάτου αὐτοῖς. Front. strat. II, 5, 4: L. Metellus consul

in Sicilia bellum adversus Hasdrubalem gerens . . . intra Panormum copias tenuit. Oros. IV, 9, 14: Hasdrubal... cum Metello consule apud Panormum pugnam conseruit). 2) Die Ueberlieferung berichtet von Friedensunterhandlungen, die nach der Niederlage von den Puniern angeknüpft wurden (diese Friedensverhandlungen werden von Polybius nicht erwähnt, weil sie erfolglos blieben. Aber sie sind durch andere Quellen und durch sachliche Gründe [vgl. besonders Oskar Jäger, M. Atilius Regulus. Progr. 1878 S. 8-11] so gut beglaubigt, dass die meisten Forscher [z. B. auch Mommsen] sie als geschichtlich betrachten. Ob bei dieser Gesandtschaft Regulus beteiligt war, ist eine Frage für sich, die hier nicht in Betracht kommt). Fiel die Schlacht in den Juni 250. so betrug die Zeit zwischen dem Tag von Panormus und der Wiederaufnahme des Kriegs durch die Absendung der neuen Konsuln C. Atilius und L. Manlius allerhöchstens sechs Wochen. Dass in so kurzer Frist die durch eine Gesandtschaft der Punier in Rom geführten Verhandlungen eingeleitet und beendigt sein konnten, ist wohl kaum denkbar.

Come vedesi, se il Luterbacher ha potuto ostinarsi a porre la battaglia di Palermo dopo la fine dell' anno di carica di Metello, è pel semplice motivo che questo dotto non ha, diciamolo pure, avuto una chiara conoscenza delle questioni che si è proposto di risolvere. Il Leuze invece ha studiato profondamente questo argomento; così mi ha fornito il modo di confutare, senza incomodarmi a rispondere con argomentazioni mie, chiunque si ostina a determinare la cronologia della battaglia di Palermo senza accettare la mia teoria sul calendario romano.

Vero è però che il Leuze, nonostante tutte le ragioni da lui portate in favore della mia teoria, alla fine non l'ha voluta accettare. Ma l'argomentazione in base alla quale il Leuze non ammette la mia teoria è anch'essa una prova in favore di questa: è anzi la più valida prova che si possa portare.

Prende le mosse dalla traduzione latina del vecchio Casaubono e dalla traduzione tedesca del Campe; di qui passa ad argomentazioni che non credo di dover riferire; e viene in sostanza a questa conclusione: „Essere vero che l'esercito cartaginese è andato contro Palermo nell' aprile rom. del cons. 503; che però ,ἀκμαζούσης τῆς συγκομιδής non significa che era il tempo della mietitura; che si era invece nell' aprile giuliano del 250“. Quale prova, in favore della mia teoria, è più valida di questa? Che cioè siasi dovuto per distruggere ad ogni costo le mie argomentazioni, ricorrere ad un tale ripiego?

Si sono insomma questi avvenimenti svolti nel modo seguente: In uno degli ultimi mesi dell' anno di carica (poniamo verso i primi di aprile 503) C. Furio ha lasciato la Sicilia per andare a Roma a presiedere i comizi per le elezioni dei nuovi consoli. Il capitano dei Cartaginesi, saputo che Furio era partito (subito dopo e non nientemeno che molti mesi dopo. come risulta dalla ricostruzione di Luterbacher, il quale fa ritornare Furio nell' inverno precedente), cerca di trarre profitto dal fatto che per qualche mese cioè fino all' arrivo dei nuovi consoli. le forze romane in Sicilia erano molto diminuite; e va contro Palermo. Essendo il tempo della

raccolta, la stagione era molto propizia per operare in territorio nemico. Ma riportiamo il passo di Polibio:

Καὶ καταστήσαντες στρατηγοὺς Γάιον 'Ατίλιον καὶ Λεύκιον Μάλλιον, ναυπηγοῦνται πεντήκοντα σκάφη, καὶ κατέγραφον καὶ συνήθροιζον στό λον ἐνεργῶς. Ὁ δὲ προεστὼς τῶν Καρχηδονίων 'Ασδρούβας, ὁρῶν ἀποδειλιῶντας τοὺς Ρωμαίους ἐν ταῖς προγεγενημέναις παρατάξεσιν, πυθόμενος τὸν μὲν ἕνα τῶν στρατηγῶν μετὰ τῆς ἡμισείας δυνάμεως εἰς τὴν Ιταλίαν ἀπηλλάχθαι, τὸν δὲ Καικίλιον ἐν τῷ Πανόρμῳ διατρίβειν, τὸ λοιπὸν μέρος ἔχοντα τῆς στρατιᾶς, βουλόμενον ἐφεδρεῦσαι τοῖς τῶν συμμάχων καρποῖς, ἀκμαζούσης τῆς συγκομιδῆς, ἀναλαβὼν ἐκ τοῦ Λιλυβαίου τὴν δύναμιν, ὥρμησε καὶ κατεστρατοπέδευσεν πρὸς τοῖς ὅροις τῆς χώρας Πανορμίτιδος κτλ. (Ι, 39, 15–40, 2).

Quando è giunta a Roma notizia della vittoria di Metello, i consoli del 504 o erano ancora suffecti, o da poco avevano preso il comando:

Polyb. 1, 41, 1: Τοῦ δὲ προτερήματος τούτου προσπεσόντος εἰς τὴν Ρώμην, περιχαρεῖς ἦσαν, οὐχ οὕτως ἐπὶ τῷ τοὺς πολεμίους ἠλαττῶσθαι, τῶν θηρίων ἐστερημένους ὡς ἐπὶ τῷ τοὺς ἰδίους τεθαρρηκέναι, τῶν ἐλεφάντων κεκρατηκότας. Διὸ καὶ πάλιν ἐπεῤῥώσθησαν διὰ ταῦτα κατὰ τὴν ἐξ ἀρχῆς πρόθεσιν, εἰς τὸ μετὰ στόλου καὶ ναυτικῆς δυνάμεως τοὺς στρατηγοὺς ἐπὶ τὰς πράξεις ἐκπέμπειν, σπουδάζοντες εἰς δύναμιν πέρας ἐπιθεῖναι τῷ πολέμῳ.

Da tutto il fin qui detto crediamo risultino i due seguenti fatti: 1o. che la battaglia di Palermo è avvenuta verso la fine del giugno 250.

2o.

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che in questo tempo l'anno di carica di Metello era bensì verso il termine, ma non era ancora del tutto trascorso.

Cosi facciamo il seguente ragguaglio: Meta d'aprile 503 = Fine di giugno 250.

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Se il calendario romano avesse funzionato regolarmente, i mesi delTanno consolare adatti alla guerra (θερεία) sarebbero stati tutti inclusi nell' anno astronomico in cui i consoli entravano in carica; e perciò sempre in questo avrebbero dovuto partire pel campo ritornando poi verso la fine dell' annus, un console a Roma per le elezioni. Invece collo spostamento regressivo del calendario romano, quest' unico modo di inviare i consoli contro il nemico non poteva sempre essere seguito, perchè un console spesso non avrebbe potuto lasciar il campo, per recarsi a Roma a presiedere i comizi per le elezioni, se non producendo un indebolimento nell'esercito romano in una stagione adattissima alle operazioni militari: come p. e. abbiamo veduto quanto al ritorno di C. Furio nel 250, che diede luogo all' assalto di Asdrubale. Quindi sono spesse volte o ambedue i consoli, oppure uno di essi, partiti ἀρχομένης τῆς θερείας dell' anno astronomico seguente a quello in cui entravano in carica; cioè o dopo presie

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