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la vieille mythologie grecque. Les mystères d'Isis et de Sérapis semblèrent apporter une révélation depuis longtemps pressentie et l'affirmation d'une vérité présagée par d'anciens symboles.

22. CIL X 1781, I, 15-6.

23. Apul., Metam., XI, 30.

24. Wissowa, op. cit., p. 292-3.

25. Plus tard le manichéisme fut poursuivi sous un prétexte semblable, Collat. Mos. et Rom. leg. 15, 3 § 4: De Persica adversaria nobis gente progressa.

26. Une liste copieuse des inscriptions et monuments découverts dans les diverses cités est donnée par Drexler dans Roscher s. v. Isis, col. 409 ss.

27. Hirschfeld, CIL XII, p. 382 et Wiener Studien, t. V, 1883, p. 319-322.

28. Cf. Wissowa, op. cit., p. 294 ss.

29. Min. Fel., Octav. 22, 2: Haec Egyptia quondam nunc et sacra Romana sunt.

30. Carmen contra paganos (Anthol. lat. ed Riese, I, 20 ss.) v. 91, 95 ss.; cf. Ambrosiaster, col. 2343 C (Rev. hist. litt. relig., VIII, p. 422, n. 1).

31. Rufin II 24: Caput ipsum idolatriae. Une miniature d'une chronique alexandrine nous montre le patriarche Théophile, la tête nimbée, foulant aux pieds le Sérapéum; cf. Bauer et Strzygowski, Eine alexandrinische Weltchronik (Denkschr. Akad. Wien, LI) 1905, à l'année 391, p. 70 ss., p. 122 et pl. VI.

32. Cf. Drexler dans Roscher s. v. Isis p. 425; Harnack Ausbreitung des Christentums, II 2 p. 147 ss. Des détails curieux, qui montrent la persistance du culte d'Isis parmi les professeurs et les étudiants d'Alexandrie dans

les dernières années du ve siècle, sont donnés dans la vie de Sévère d'Antioche par Zacharie le Scholastique (Patrol. orient. I, éd. Kugener) p. 17 ss, 27 ss.

33. Ps.-Apul., Asclepius 34; cf. une prophétie analogue dans les oracles Sibyllins, V, 184 ss. (p. 127 ed. Geffcken).

34. Iséum de Bénévent, cf. Notizie degli Scavi di Ant., 1904, p. 107 ss. Iséum du Champ de Mars, cf. Lanciani, Bullet. communale Roma, 1883, p. 33 ss.; Marucchi, Ibid. 1890, p. 307 s. Les signa Memphitica (en marbre de Memphis) sont mentionnés dans une inscription (Dessau, Inscr. sel., 4367-8). — L'expression employée à propos de Caracalla: Sacra Isidis Romam deportavit et que Spartien (Carac., 9; cf. Aur. Vict., Cæs., 21, 4) n'a plus comprise, semble aussi se rapporter à un transfert de monuments sacrés égyptiens.

35. Gregorovius, Gesch. des. Kaisers Hadrian, 222 ss., cf. Drexler l. c. p. 410.

36. L'expression est de M. Wiedemann.

37. Naville, op. cit., p. 89 ss.

38. Je n'ai point parlé ici de l'hermétisme, que les recherches de M. Reitzenstein ont mis à l'ordre du jour, parce que son action a été, je pense, purement littéraire en Occident. On ne trouve pas de trace, que je sache, au moins dans le monde latin, d'une secte hermétique avec un clergé et un culte. Les Heliognostae ou Deinvictiaci qui prétendirent en Gaule assimiler le Mercure indigène au Thot Égyptien (Mon. Myst. Mithra, I, p. 49, n. 2, cf. 359) sont des gnostiques chrétiens. C'est, je crois, méconnaître la réalité des faits que de dire comme le fait M. Reitzenstein (Wundererzählungen, 1906; p. 128). « Die

hermetische Literatur ist im zweiten und dritten Jarhundert für alle religiös-interessierten den allgemeinen Ausdruck der Frömmigkeit geworden. L'hermétisme, qui sert d'étiquette à des doctrines d'origine très diverse, a été influencé, je pense, par « la dévotion générale » plus qu'il ne l'a suscitée. Il est le résultat d'un long effort pour concilier les traditions égyptiennes d'abord avec l'astrologie chaldéenne puis avec la philosophie grecque, et il se transforma en même temps que cette philosophie elle-même. Mais ceci demanderait de longs développements.

39. Plut., De Isid., 9.

40. Apul., Metam., XI, 5.

41. CIL X, 3800.- Dessau, Inscr. sel., 4362. 42. Cf. supra, p. 95.

43. Plut., De Iside et Osir., 52. Cf. Hermès Trimégiste. "Opot Axλníov, c. 16, et Reitzenstein, Poimandres, p. 197.

44. Cf. Naville, op. cit., p. 170 ss.

45. Juvén. VI, 489: Isiacae sacraria lenae; cf. Friedländer, Sittengeschichte, 1o, p. 502.

46. M. Farnell a brillamment esquissé dans un livre récent l'histoire du rituel de purification et de la conception de pureté à travers l'antiquité (Evolution of religion, Londres, 1903, p. 88-162) mais il n'a malheureusement tenu aucun compte de l'Égypte, où les formes primitives se sont maintenues peut-être le plus inaltérées.

47. Juvén., VI, 522 ss.

48. Friedländer, Sittengeschichte, I, p. 510. Sur cette transformation du culte d'Isis, cf. Réville, op. cit., p. 56. 49. Plutarque, De Iside, c. 2; cf. Apul. Met, XI, 6, fin.

50. Élius Arist., In Sarap., 25 (II p. 359 éd. Keil); cf. Diodore, I, 93.

51. Porph., Epist., ad Aneb., 29. — La réponse du Ps. Jamblique (De Myst. VI, 5-7) est caractéristique. Il soutient que ces menaces s'adressent à des démons; cependant il se rend bien compte que les Égyptiens ne distinguent pas nettement entre les incantations et les prières (VI, 7, 5).

52. Jamblique, Myst., VI, 6. — Les Égyptiens se glorifiaient d'avoir été les premiers à « connaître les noms sacrés et à dire les discours sacrés » (Luc., De dea Syr., 1).

53. C'est ce qu'a démontré Otto, Priester und Tempel, p. 114 ss. Cf. supra, ch. II, n. 31. — M. Dennison s'est occupé récemment, à propos de certains bustes, de la tonsure des isiaques (American journ. of archaelogy, V, 1905, p. 341).

54. CIL XII 3061: Ornatrix fani.

55. Cf. Kan, De love Dolicheno, 1901, p. 33.

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56. Cf. Moret, Le rituel du culte divin journalier en Égypte, Paris, 1902. Les brèves données éparses dans les auteurs grecs et latins s'enchaînent el s'éclairent admirablement lorsqu'on les compare au cérémonial égyptien.

57. Apul., XI, 22: Rituque sollemni apertionis celebrato ministerio. Cf. XI, 20 Matutinas apertiones templi. 58. Josèphe, Ant. Jud., XVIII, 3, 5, § 174.

59. Servius ad Verg., Aen., IV, 512 : In templo Isidis aqua sparsa de Nilo esse dicebatur; cf. II, 116. Lorsqu'à cette fiction on substituait la réalité, en répandant de l'eau puisée dans le fleuve, on rendait l'acte plus efficace; cf. Juvén. VII, 527.

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60. Ce passage est, avec un chapitre d'Apulée (XI, 20), le texte capital sur le rituel de ces matines isiaques (De Abstin. IV, 9) : Ως που ἔτι καὶ νῦν ἐν τῇ ἀνοίξει τοῦ ἁγίου Σαράπιδος ἡ θεραπεία διὰ πυρὸς καὶ ὕδατος γίνεται, λείβοντος τοῦ ὑμνωδοῦ τὸ ὕδωρ καὶ τὸ πῦρ φαίνοντος, ὁπηνίκα ἑστὼς ἐπὶ τοῦ οὐδοῦ τῇ πατρίῳ τῶν Αἰγυπτίων φωνῇ ἐγείρει τὸν θεόν. Arnobe (VII, 32) fait allusion à la même croyance isiaque: Quid sibi volunt excitationes illae quas canitis matutini conlatis ad tibiam vocibus? Obdormiscunt enim superi remeare ut ad vigilias debeant? Quid dormitiones illae quibus ut bene valeant auspicabili salutatione mandatis? 61. Apul., Met., XI, 9.

62. CIL, II 3386 Dessau, Inscr. sel., 4422; cf. 4423. 63. Apul. XI, 24; cf. Lafaye, p. 118 ss.; Porphyre (De Abstin., IV, 6) insiste longuement sur ce caractère contemplatif de la dévotion égyptienne les prêtres amédoσαν ὅλον τὸν βίον τῇ τῶν θεῶν θεωρίᾳ καὶ θεάσει.

64. Dans le rituel pharaonique la clôture a lieu, semble-t-il, le matin même, mais en Occident on exposait les images sacrées à la contemplation, et l'ancien office égyptien a ainsi dû être scindé en deux cérémonies. 65. Hérodote, II, 37.

66. Cf. Maspero, Rev. critique, 1905, II, 361 ss.

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67. Apul., Met., XI, 7 ss. Des survivances de cette. fête auraient persisté à Catane dans le culte de sainte Agathe; cf. Analecta Bollandiana, 1906, p. 509.

68. De pareilles mascarades se retrouvent dans de nombreux cultes païens; cf. Mon. myst. de Mithra, t. I, p. 315.

69. Les pausarii sont nommés dans les inscriptions; cf. Dessau, Inscr. sel., 4353, 4445.

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