 | İbrahim Fehim - 1890 - 126 ˹éÒ
...le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir Je vous défendrais de l'orage : Mais vous nnissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes...souci, Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; J »jjjJ * . Ul tj& , Jo 1 j_yjl J^kwlj uaï—. j. Jlla, t/l^jl <J';y jl "iA. > u^, dAj^>- o r .^... | |
 | Jean de La Fontaine - 1705 - 510 ˹éÒ
...n'auriez pas tant à fouftrir; Je le vons défendrois de l'orajçe. Mais vous naiflcz le plus fouvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La Nature envers vous me fcmblc bien injuftc. Vôtre compaflion, lui répondit l'Arbnfte, Part d'un bon naturel j mais quittez... | |
 | Jean de La Fontaine - 1799 - 412 ˹éÒ
...n'auriez pas tant à fbuflrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vou- naifTez le plus fouvent Sur les humides bords des royaumes du vent (}). La nature envers vous me femble bien injufle. Votre compaQion , lui répondit l'arbufle , Part d'un bon naturel : mais quittez... | |
 | David Etienne Choffin - 1774 - 520 ˹éÒ
...n'auriez pas tant à fouffïir; Je vous dé'rcndrois de l'orage. , Mais vous n.uilc/ le plus fouvent Sur les humides bords des royaumes du vent: La Nature envers vous me (cmblé bien injurie. , Votte compaflion, lui repondit l'Arbulle, fait d'un bon naturel ; tua-s quittez... | |
 | Jean de La Fontaine - 1780 - 284 ˹éÒ
...n'auriez, pas tant à fouffrir , Je vous défendrois de l'orage. Mais vous naîfiez le plus Couvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La Nature envers vous me femblc bien înjufte. Votre compa/lîon , fui répondit l'Arbufte , Part d'un bon naturel, mais quittez... | |
 | Jean de La Fontaine - 1787 - 328 ˹éÒ
...Dont je couvre le voisinage , Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent *.La nature envers vous me.semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez... | |
 | Jean de La Fontaine - 1799 - 262 ˹éÒ
...n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrois de l'orage : • Mais vons naissez le plus sonvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature...souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Te plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Mais attendons la... | |
 | Charles Batteux - 1802 - 380 ˹éÒ
...defendrais de l'orage. Je qu'il ya de plaisir à se donner soi - même pour quelqu'un qui protége ! Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. Ce tour est poétique , et même de la haute poésie : ce qui ne messied pas dans la bouche du Chêne.... | |
 | François Moysant - 1803 - 438 ˹éÒ
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrois de l'orage: Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; I^es vents me sont moins qu'à vous redoutables: Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre... | |
 | Jean de La Fontaine, Marie Nicolas Sylvestre Guillon - 1803 - 468 ˹éÒ
...n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent (10) Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste (ii). Voire compassion , lui re'pondit l'arbuste (12) , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci... | |
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Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble... 
