ภาพหน้าหนังสือ
PDF
ePub

Th. H. Huxley. Ueber unsere Erkenntniss von den Ursachen der Erscheinungen in der organischen Natur Sechs Vorlesungen für Laien. Uebersetzt von C. Vogt. Braunschw. 1866. Ch. Lyell. Das Alter des Menschengeschlechts auf Erden und der Ursprung der Arten durch Abänderung. Deutsch von Dr. L. Büchner. Leipzig. 1867.

A. R. Wallace. Der malayische Archipel. Die Heimath des Orang-Utan und des Paradiesvogels. Autorisirte deutsche Ausgabe von A. B. Meyer. 2 Bde Braunschw. 1869.

Beiträge zur Theorie der natürlichen Zuchtwahl. Eine Reihe von Essays. Uebersetzt von Dr. A. B. Meyer. Erlangen. 1870.

Verzeichniss der hauptsächlichsten Werke der ausländischen Literatur. I. Englische Literatur.

Charles Darwin.

1858. On the variety of organic beings in the state of nature; on the natural means of selection, on the comparison of domestic races and true species Abstract of a letter from C. Darwin Esq. to prof. Asa Gray, Boston, U. S., dated Down, Septb. 5, 1857. (Journal of the proceedings of the Linnaean Society in London. vol. III. pag. 46—53).*) 1859. On the origin of species by means of natural selection, or the preservation of favoured races in the struggle for life. London

I edit: 1859; II. 1860; III 1861; IV. 1866; V. 1869.

1862. On the various contrivances by which British and foreign Orchids are fertilised by insects, and on the good effect of intercrossing London

1868. The variation of animals and plants under domestication. 2 vols. London. Duke of Argyll. Primeval man. An examination of some recent speculations. Lond. 1869. Asa Gray. Natural selection not inconsistent with natural theology. A free examination of Darwin's treatise on the origin of species, and its American reviewers. Boston. 1861.

C. R. Bree. Species not transmutable, nor the results of secondary causes: being a critical examination of Mr. Darwin's work entitled: „Origin and variation of species". Lond. 1860. J. Brodie. Remarks on the antiquity and nature of man, in reply to the recent work of Sir Ch. Lyell. Edinburgh. 1864.

E. Cope. On the origin of genera. From the proceedings of the Academy of natural sciences of Philadelphia, Oktober 1868. Philadelphia (London) 1868.

The Darwinian Theory of the transmutation of species. Examined by a graduate of the University of Cambridge. London. 1867.

Th. Ewbank. Cursory thoughts on some natural phenomena: bearing chiefly on the primary cause of the succession of new species, and on the unity of force. New-York. 1862.

H. Freke. On the origin of species by means of organic affinity. London. 1861.

Th. H. Huxley. On the origin of species, or the causes of the phenomena of organic nature. A course of six lectures to working men. New-York. 1863

On our knowledge of the causes of the phenomena of organic nature. London. 1863. Evidence as to man's place in nature or essays upon. I: the natural history of the manlike apes. II: the relation of man to the lower animals. III: fossil remains of man. London. 1 ed. 1863.

J. P. Lesley. Man's origin and destiny sketched from the platform of the sciences, in a course of lectures delivered before the Lowell Institute, in Boston, in the winter of 1865-66. London. 1868.

Ch Lyell. Principles of Geology; or the modern changes of the earth and its inhabitants considered as illustrative of geology. London. 10. ed. 1867/8.

Elements of Geology; or the ancient changes of the earth and its inhabitants, as illustrated by geological monuments. London. 6. ed. 1865.

*) Obgleich sonst die ausländischen Zeitschrift-Artikel aus diesem Verzeichniss ausgeschlossen wurden, habe ich doch diese beiden Aufsätze, in denen Darwin zuerst mit seiner Theorie an die Oeffentlichkeit tritt, aufnehmen zu müssen geglaubt. Sie finden sich in deutscher Uebersetzung in der kleinen Schrift von Dr. A. B. Meyer, Ch. D. und A. R Wallace (s d. 1. Art. p 3).

Zeitschrift für Ethnologie, Jahrgang 1871.

5

Ch. Lyell. The geological evidences of the antiquity of man; with remarks on the theories

of the origin of species by variation". London, 1. and 2. ed. 1863; 3. ed. 1869.

Fr. Müller. Facts and arguments for Darwin. With additions by the author. Translated from german by W. S. Dallas. London. 1869.

A. Murray. Geographical distributions of mammals. London. 1866.

G. Ogilvie. The genetic cycle in organic nature; or the succession of forms in the propagation of plants and animals. Aberdeen. 1861.

A. Schleicher. Darwinism tested by the science of language. Translated from the German by A. V. W. Bikkers. London. 1870.

Th. R. R. Stebbing. Darwinism. A lecture delivered before the Torquay Natural History Society, febr. 1st 1869. Torquay & London. 1869.

Darwinism The Noachian flood. A lecture delivered before the Torquay Natural History Society, jan. 31st 1870, London. 1870.

C. Vogt. Lectures on man: his place in creation and in the history of the earth. Edited by J. Hunt. London. 1865.

A. R. Wallace. Contributions to the theory of natural selection. A series of essays. Lond. 1870.

II. Französische Literatur.

Charles Darwin. De l'origine des espèces ou des lois du progrès chez les êtres organisés. Traduit en Français par Mlle C. A. Royer, avec une préface et des notes du traducteur. Paris. 1 éd. 1862.

De l'origine des espèces par sélection naturelle, ou des lois de transformation des êtres organisés etc. Paris. 2 éd. 1865. 3 éd. 1869.

De la variation des animaux et des plautes sous l'action de la domestication. Traduit de l'anglais par J. J. Moulinié, avec une préface de C. Vogt. 2 vols Paris 1868. L. Agassiz. De l'espèce et de la classification en zoologie. Traduction de l'anglais par F. Vogeli. Edition revue et augmentée par l'auteur. Paris. 1869.

L. Büchner. Conférences sur la théorie Darwinienne de la transmutation des espéces et de l'apparition du monde organique. Application de cette théorie à l'homme Ses rapports avec la doctrine du progrès et avec la philosophie matérialiste du passé et du présent. Traduit de l'allemand d'après la seconde édit. par A. Jacquot Leipzig. 1869.

E. A. Carrière. Considérations générales sur l'espèce. Paris 1863.

P. J. B. Chérubin. De l'extinction des espèces; études biologiques sur quelques-unes des lois qui régissent la vie. Paris 1869.

J. E. Cornay. Anthropologie. Mémoire sur l'unité de specialité des espèces humaines, et en particulier sur la concordance des vues des physiologistes relatives à l'état d'unité et de pluralité de ces espèces Paris. 1863.

J. P. Durand. De l'influence des lieux sur les caractères des races chez l'homme et les animaux (Extrait des procès-verbaux de la Société d'anthropologie) Paris. 1869.

--

De l'influence des lieux sur les caractères de race Paris. 1868.

E. Faivre. La variabilité des espèces et ses limites. Paris. 1868.

A. L. A. Fée. De la longévité humaine. Lettre à Mr. Isid. Geoffroy Saint-Hilaire sur l'adoption du genre humain. De l'espèce, à propos de l'ouvrage de M. Darwin. Strassbourg. 1862, J Gervais. Zoologie et paléontologie générales, on nouvelles recherches sur les animaux ver tébrés, dont on trouve les ossements enfouis dans le sol et sur leurs comparaisons avec les espèces actuellement existantes Paris. 1867.

Th. H. Huxley. De la place de l'homme dans la nature. Traduit, annoté, précédé d'une introduction etc. par le Dr. Dally. Paris. 1868.

H. Le Hon. L'homme fossile en Europe: son industrie, ses moeurs, ses oeuvres d'arts aux temps antediluviens et préhistoriques. Grande période glaciaire, âge du grand ours et du mammouth, l'homme des cavernes, àge du renne, inondations diluviennes, âges de la pierre polie, du bronze, du fer, cités lacustres, Darwinisme Bruxelles. 1866-68.

Darwinisme ou théorie de l'apparition et de la revolution des espèces animales et végétales. Traduit de l'italien du professeur Omboni, avec prolégomènes de H. Le Hon. Paris. 1867

Ch. Letourneau. Variabilité des êtres organisés (Extrait de la philosophie positive, juilletaoût 1868) Versailles. 1868.

Ch Lyell. L'ancienneté de l'homme prouvée par la géologie, et remarques sur les théories relatives à l'origine des espèces par variation. Traduit, avec le concours de l'auteur, par Chaper. Paris. 1864.

- L'ancienneté de l'homme, appendice. L'homme fossile en France, communications faites à l'Institut par M. M Boucher de Perthes, Bontin, P. Cazalis de Fondouce, Christy, J. Desnoyers, H Alphonse Milne Edwards, etc Paris. 1864.

M. Malbranche. Quelques réflexions sur le Darwinisme. (Extrait des travaux de la Société des amis des sciences naturelles.) Rouen 1866.

Des Moulins. Quelques réflexions sur la doctrine scientifique dite darwinisme. Bordeau. 1869.
Ch Pouchet. De la pluralité des races humaines, essai anthropologique. Paris 1864.
M. A. de Quatrefages. Histoire naturelle générale, origines des espèces animales et végétales.
(Extrait de la Revue des Deux Mondes, livr. du 15 decb. 1868.). Paris 1868.

C. Vogt. Leçons sur l'homme, sa place dans la création et dans l'histoire de la terre Traduction française de J J. Moulinié revue par l'auteur. Paris. 1865

G. Wyrouboff. De l'espèce et de la classification en zoologie par L. Agassiz. Vers. 1869.

III. Holländisch-Belgische Literatur.

Charles Darwin. Het ontstaan der soorten van dieren an planten door middel van de natuurkeus; of het bewaard blijwen van bevoorregte rassen in den strijd des levens Uit het engelsch vertaald door T. E, Winkler. 2 dln. - ed. I. Haarlem. 1860. ed II. Utrecht 1869. FA Hartsen. Darwin en de godsdienst, eene populaire uiteenzetting van het Darwinisme, en beschouwingen van dit stelsel. Gevolgd door en reeks losse gedachten in en antwoord an Pfaff. Leiden. 1869.

M A. W. Hopkins. Over natuurkundige theoriën omtrent de verschijnsels van het leven, en bepaaldelijk over Darwin's theorie angaande het ontstaan der soorten Uit het Engelsch vertaald door J. van der Hoeden. Haarlem. 1860.

B. H. Klönne. Onze voorouders volgens de theorie van Darwin en het darwinisme van Winkler. Hertogenbosch. 1869

Sir Ch. Lyell. De geologische bewijzen voor de outheid van het menschelijke geslacht; en aanmerkingen op de leer van het ontstaan der soorten door verandering. Uit het Engelsch door T. E. Winkler. Jalt-Bommel. 1864.

Th. R. R. Stebbing. De theorie van Darwin. Eene verhandeling. Uit het Engelsch vertaald door G. van de Stadt Arnhem. 1869.

[blocks in formation]

Carlo Darwin. Sull' origine della specie per elezione naturale, ovvero conservazione delle razze perfezionate nella lotta per l'esistenza Prima traduzione italiana col consenso del

autore per cura di G Canestrini i L. Salimbeni. Modena. 1865.

A. Casanova. Dottrina della razze, straordinarie ibridismo umano ed animale, ovverosia quadruplice serie di fatti sull' incrociamento fra stirpi diverse che proverebbero la opportunità di usufruire le teoriche dei vermicellisti ed ovaristi comulativamente declinando da agni odierna preferenza tassativa alle ovaristiche ed epigenetiche; aggiuntevi alcune glosse al trattato sui mostri di J. G. St. Hilaire ed alle memorie di G. Polli intorno l'attual morbo (da fermento infusoriforme!! -) del baco da seta etc. Milano I. 1863. II 1864. Ghiringhello. Sulla transformazione della specie. Atti della R Academica delle Scienze di Torino. 1868.

T. Mamiani. Nuove considerazioni intorno al sistema di Darwin. Firenze 1868.

P. Mantegazza. Carlo Darwin e il suo ultimo libro. Firenze. 1868.

G. Omboni Carlo Darwin, sull' origine delle specie per elezione naturale. Prima traduzione italiana di G. Canestrini L. Salimbeni. Articolo bibliografico. Milano. 1865.

Bücherschau.

J. B. Meyer: Kant's Psychologie. Berlin 1870.

Nach einem Blicke auf die Widersprüche in den Arbeiten Herbert's, Beneke's. Ulrici's, Fischer's, Liebmann's, Schopenhauer's u. s w. (von denen ieder durch seine Schüler für den allein wahren Propheten der kantischen Offenbarung erklärt wurde), unternimmt es der Verfasser, die psychologischen Ansichten Kant's darzulegen und gegen falsche Vorwürfe zu vertheidigen, indem er sich am nächsten an Fries' Auffassung anschliesst. Die naturwissenschaftlichen Studien des Verfassers haben, wie seine Deductionen, auch seine Sprache vereinfacht, während sich sonst beim Leser derartiger Bücher leicht die Bemerkung aufdrängt, dass unsere westliche Philosophie sich in einen eigenthümlichen Jargon hineingeredet hat, bei dem es dem Laien oft ebenso zu Muthe wird, als wenn er die Discussionen der Partheien im heiligen Concil über das Infallibilitäts-Dogma liest. Es scheint ihm mitunter, dass alle diese weitschweifigen Erörterungen*) über die Beschlüsse früherer Synoden, über Bullen, päpstliche Decrete, über die gemilderte oder unbedingte Unfehlbarkeit gespart werden könnten, da dem gesunden Menschenverstand die Unfehlbarkeit überhaupt als unfehlbarer Unsinn erscheint. Da der Papst indessen, wenn auch in seiner weltlichen Macht beschnitten, auf die geistlichen Blitze noch nicht verzichtet hat, ist die Rebellion des beschränkten Unterthanenverstand bisher stets in gebührende Schranken gehalten worden. Sollte jedoch, wie es nahe bevorzustehen scheint, in der Gelehrtenwelt ähnliche Opposition gegen manche philosophische Dogmen erwachen, so dürfte die Antwort etwas schwieriger ausfallen. In speculativen Werken finden sich häufig ganze Capitel, wenn nicht das Buch vom Anfang bis Ende, mit einem Hin- und Herreden gefüllt, bei dem sich der Profane mit steigendem Erstaunen auf jeder Seite nach dem Zweck allen solchen Staubumrührens fragt, da die ganze Sache wahrscheinlich gleich von Anfang an mit einer kurzen Antwort erledigt gewesen sein würde, wenn vielleicht nicht überhaupt schon die Fragestellung selbst eine unrichtige war. Die Volks-Logik meint das Reden über des Kaisers Bart mit ihrem Sprüchwort beseitigt zu haben, aber die Ars magna versteht es besser, um sich in so plumper Weise abfertigen zu lassen. Dem Uneingeweihten allerdings bleibt es ein unverständlicher Geschmack, der im Frühling neuen Verständnisses aufspriessenden Natur die Augen zu verschliessen und lieber im Halbdunkel labyrinthischer Irrgänge umherzuschleichen, um sich mit den Begegnenden herumzuzausen, ohne dass man recht weiss, mit wem es eigentlich zu thun giebt und woher all dieser Lärm. In seinen Prolegomena, um Hume's Einwürfe („der zuerst den dogmatischen Schlummer unterbrach“) zu widerlegen, ergeht sich Kant in allerlei Winkelzügen, ehe er sich daran macht, die Frage zu beantworten, ob Metaphysik möglich sei. In seinem Fundamentalwerk darüber (dessen hohe Bedeutung für die Zeit, in der es entstand, natürlich Niemand verkennen wird), sind zwei Probirsteine für seine Lehre hingestellt: die reine Mathematik" und die reine Naturwissenschaft“ und es muss erlaubt sein, die Aechtheit derselben mit den durch neue Entdeckungen geschärften Instrumenten unserer heutigen Beobachtung zu prüfen. In der reinen Naturwissenschaft bilden die Hauptcriterien einige (namentlich angeführte zwei) Grundsätze der allgemeinen Physik, dass die Substanz bleibt und beharrt, „dass alles was geschieht, jederzeit durch eine Ursache nach beständigen Gesetzen vorher bestimmt sei.* Dieses sind wirklich allgemeine Naturgesetze, die völlig a priori bestehen. Was Heraklit gegen den ersten Satz zu sagen haben sollte, überlasse ich seinen Manen, denen es jedenfalls

[ocr errors]

*) innerhalb der Coterie, und ähnlich bemerkt Kant: , Man kann in der Metaphysik auf mancherlei Weise herumpfuschen, ohne eben zu besorgen, dass man auf Unwahrheiten werde betreten werden." Das weiss Gott und der heilige Fidanza, der es deshalb den Naturforschern verzeihen möge, wenn sie nicht zu seraphischen Höhen aufzusteigen wagen.

nicht versagt sein kann, gegen die Allgemeinheit zu protestiren. Der zweite Satz, dass alle Veränderung eine Ursache haben müsse, ist erst das Product unseres systematischen Denkens in naturwissenschaftlicher Methode (die rationelle Auffassung des Causalbegriffes statt instinctmässiger Empirie). Für ein Volk, dessen Denken noch im mythologischen Stadium verharrt, ist der Gesichtskreis im Gegentheil mit lauter Wundern gefüllt, mit ursachlos durcheinanderschwimmenden Veränderungen proteusartiger Metamorphosen, ohne dass man weiss (und selbstbewusst nicht wissen kann), wie und woher die Wirkung. Ebenso fehlen im Denken (und oft schon in der Sprache) der Naturvölker bald diese, bald jene der Kategorien, die seit Aristoteles bis Kant für die Fundamentalsätze der Philosophie gelten. Das ungerechtfertigte Zusammenwerfen der Logik") und Grammatik kennzeichnet sich in den pag. 69 angeführten Beispielen, wonach sich das Erfahrungsurtheil des Europäers gewöhnlich in Wahrnehmungsurtheile umsetzen müsste, wenn er (was vielleicht nicht im Trivium oder Quadrivium, aber häufig auf Reisewegen passirt) mit rohen Stämmen in ihrem Patois zu reden hat. Das dos der speculirenden Philosophie liegt ohnedem ziemlich an der Oberfläche. Wir nehmen in frühester Jugend, so lange wir noch ein unbewusstes Geistesleben führen, schon eine solche Quintessenz aus den Resultaten eines seit Jahrtausenden gepflegten Bildungskreises aus den Worten unserer Eltern und Lehrer auf, dass, wer nachher in eine Selbstbeschauung zurücktritt, allerdings eine Menge Kräfte in sich entdecken wird, die ihm als a priori gegeben erscheinen, da er sich von ihrer Erwerbung a posteriori keine Rechenschaft geben kann. Es lässt sich deshalb kein ungeeigneteres Object für solche Untersuchungen denken, als die Geistesverfassung eines Philosophen, d. b. eines auf der Höhe der Bildung stehenden Mannes, dem jede Möglichkeit abgeschnitten sein muss, zu den Wurzeln der primitiven Elemente hindurchzudringen. Nur die von der Ethnologie gelieferten Thatsachen, zunächst die Betrachtung der einfachsten Naturvölker und ihrer Denkmethoden, kann hier ein objectiv richtiges Sachverhältniss herstellen, und je eher sich die Philosophie entschliessen wird, sich dieser neuen Hülfsmittel zu bedienen, desto besser wird es für sie sein. Die Möglichkeit der reinen Mathematik als synthetische Erkenntniss a priori soll darauf beruhen, dass der empirischen Anschauung der Sinnesgegenstände eine reine Anschauung des Raumes und der Zeit a priori zu Grunde liegt, und diese reinen Anschauungen a priori müssen aller empirischen Anschauung (Wahrnehmungen wirklicher Gegenstände) vorhergehen, indem ihnen gemäss Gegenstände a priori erkannt werden können. Die Physiologie wird jedoch bald genug nachgewiesen haben, dass die Raumauffassung **) nur die Folge der optischen Einrichtung des Auges, die Zeitauffassung ein Nervengesetz des animalischen Organismus sei, und dass wir in diesen Schranken beständig denken, weil die Erfahrungen des Gesichts- und Gehörsinns die Hauptquelle der Gedanken sind. Wie aus den Beobachtungen von Kindern und von operirten Blindgebornen bekannt genug ist, verlangt das Sehen***) seine Er

* In der Erörterung über die Antinomien wird der Satz: Ein viereckigter Cirkel ist rund, für falsch erklärt, wegen des widersprechenden Begriffes, wogegen ein solcher Satz überhaupt in gar keine Beziehung zu den Aufstellungen der Vernunft gesetzt werden dürfte, da er eben weiter nichts ist als eine Phrase neben einander gestellter Worte (eine in den Anschein grammatischer Verknüpfung gebrachtes Abracadabra), denn dem Ausspruche viereckigter Cirkel, als Gesammtbegriff, kann nie ein Gedanke vorangegangen sein.

**) Es heisst, dass, wenn man von den empirischen Begriffen eines Objectes alle Eigenschaften weglasse, doch dasjenige bleibe. wodurch es als Substanz werde (dann jedoch eben nur als Wortschall im Denkgebilde, denn die reale Substanz verschwindet mit der letzten ihrer Accedentien). Ferner soll (wie gesagt wird), wenn man einem Körper Alles, was daran empirisch ist, nahme (die Farbe, Härte, Weiche, die Schwere, die Undurchdringlichkeit), doch der Raum übrig bleiben, den er einnahm aber dies nur darum, weil wir die meisten Dinge optisch denken, und also in dem mit dem Auge nothwendig verknüpften Horizont des Schauens. Würden wir einem Tone seine Härte oder Weiche nehmen, seine Klangfarbe und was sonst daran charakteristisch ist, so würde schliesslich auch kein Raum übrig bleiben (oder nur die Schwingungen der Schallwellen für den Physiker). Kant's Subjectivität des Raums zum Besten der reinen Mathematik bereitet der angewandten desto grössere Hindernisse.

***) Die vom Erwachen des Bewusstseins an fortgesetzte Uebung, durch Winkelbewegung die sichtbare Grösse der Aussendinge zu messen, giebt eine unendliche Reihe von Vorstellungen bestimmter Maasse. Durch Reproduction dieser Grössenvorstellungen wird für jeden neuen Fall jedesmal das Maass der nöthigen Bewegung gefunden (s. Hasenclever). Nur durch die vollendete Bewegung wird der Ort eines Dinges, also auch jedes Theils im Organismus selbst, gefunden, nur durch die vollendete Bewegung erhält jede concrete Vorstellung ihre Beziehung zum Raum.

« ก่อนหน้าดำเนินการต่อ
 »