Oeuvres de Louis Racine, เล่มที่ 6Le Normant, 1808 |
ฉบับอื่นๆ - ดูทั้งหมด
คำและวลีที่พบบ่อย
Abner Achille acteurs action admirable Agamemnon amour anciens Aristophane Aristote Assuérus Athalie Athènes avoient avoit cause chant choeur choses Cicéron Clytemnestre cœur comédie comédiens connoissance connoître Corneille crainte crime critique d'Aristote d'Athalie d'Athènes d'Euripide danse David déclamation devoit Dieu dieux dire doit enfans Eschyle étoient étoit Euripide eût excite faisoient faisoit fille fils gestes GLAUCON gloire grand-prêtre Grecs héros Hippolyte Homère homme imitation Iphigénie Italiens J. B. ROUSSEAU j'ai jamais Joad Joas Josabet l'abbé du Bos l'action l'amour l'auteur larmes lévites long-temps LOUIS RACINE malheurs Mathan Mithridate mœurs Monime Montiano mort musique n'étoit ouvrage parler paroît passions père personnage peuple Pharnace Phèdre pièce pitié plaisir Plaute pleurer poëme poésie dramatique poètes tragiques pourroit pouvoit qu'un Quintilien raison reconnoissance reconnoître religion représentations rime Romains saint sang SCENE sentimens seroit seul SOCRATE Sophocle spectacle spectateurs style suivant sujet temple théâtre Théramène Thésée tragédie tragédies grecques Trézène trouve vérité veut Xipharès
บทความที่เป็นที่นิยม
หน้า 468 - J'ai voulu, devant vous exposant mes remords, Par un chemin plus lent descendre chez les morts. J'ai pris, j'ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes.
หน้า 195 - Ils rougissent le mors d'une sanglante écume. On dit qu'on a vu même, en ce désordre affreux, Un dieu qui d'aiguillons pressait leur flanc poudreux.
หน้า 244 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
หน้า 203 - Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence et la paix. Du chagrin le plus noir elle écarte les ombres, Et fait des jours sereins de mes jours les plus sombres ; Que dis-je?
หน้า 164 - Vous-même où seriez-vous, vous qui la combattez, Si toujours Antiope à ses lois opposée D'une pudique ardeur n'eût brûlé pour Thésée?
หน้า 291 - L'a tiré par leurs mains de l'oubli du tombeau, Et de David éteint rallumé le flambeau. Grand Dieu, si tu prévois qu'indigne de sa race II doive de David abandonner la trace, Qu'il soit comme le fruit en naissant arraché, Ou qu'un souffle ennemi dans sa fleur a séché!
หน้า 203 - Oui, vos moindres discours ont des grâces secrètes : Une noble pudeur à tout ce que vous faites Donne un prix que n'ont point ni la pourpre ni l'or.
หน้า 166 - Ariane, ma sœur ! de quel amour blessée \ Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! \ ŒNONE Que faites-vous, madame?
หน้า 309 - II faut que sur le trône un roi soit élevé, Qui se souvienne un jour qu'au rang de ses ancêtres, Dieu l'a fait remonter par la main de ses prêtres, L'a tiré par leurs mains de l'oubli du tombeau , Et de David éteint rallumé le flambeau.
หน้า 134 - Regardez d'un autre œil une excusable erreur. Vous aimez. On ne peut vaincre sa destinée. Par un charme fatal vous fûtes entraînée.