Fables choisies: mises en vers, àÅèÁ·Õè 1J.F. Bassompierre, 1780 - 264 ˹éÒ |
à¹×éÍËÒ
103 | |
108 | |
126 | |
136 | |
142 | |
149 | |
157 | |
162 | |
165 | |
168 | |
169 | |
170 | |
171 | |
173 | |
174 | |
176 | |
177 | |
178 | |
179 | |
180 | |
181 | |
183 | |
184 | |
185 | |
186 | |
188 | |
189 | |
191 | |
205 | |
207 | |
208 | |
209 | |
211 | |
212 | |
213 | |
214 | |
215 | |
217 | |
218 | |
221 | |
222 | |
228 | |
230 | |
232 | |
234 | |
236 | |
238 | |
240 | |
242 | |
243 | |
247 | |
248 | |
250 | |
253 | |
255 | |
256 | |
©ºÑºÍ×è¹æ - ´Ù·Ñé§ËÁ´
¤ÓáÅÐÇÅÕ·Õ辺ºèÍÂ
Adieu affez ainfi alloit animal Apollon auffi auffi-tôt auroit avoit beau Belette bête Bufte C'eft C'eſt C'étoit caufe Cerf chaffe Chat Cheval Chien chofe choſe confeil d'Efope de-là deffein deftin Dieux difant difoit difoit-il dit-il Efope efprit Elope enfans Eſope eſt étoient étoit eût FABLE PREMIERE FABLE VII FABLE X FABLE XIII FABLE XIV fage faifant faifoit fans fauver fecond femble femme fendre du bois fens feroit fert fervi feul fœur foin foit fomme fon Maître fonge font Fortune fouffrir fous fouvent fuis fuivez fujet gens grace Grenouille homme J'ai jour Jupiter l'Aigle l'Alouette l'Ane l'autre L'AVARI l'Ours là-deffus laiffe Lievre Lion Loup Lycérus maint maiſon Meffieurs miférable Monfieur mort Mouche n'avoit n'eft n'en Necténabo paffer pauvre penſe perfonne Philofophe Phrygien plaifir queue raifon Renard repartit rien s'en Samiens ſes Singe ſon ſur tête tréfor voifin voilà voyoit Xantus
º·¤ÇÒÁ·Õèà»ç¹·Õè¹ÔÂÁ
˹éÒ 239 - Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux: Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi...
˹éÒ 62 - Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
˹éÒ 73 - Ce qu'on donne aux méchants, toujours on le regrette. Pour tirer d'eux ce qu'on leur prête, II faut que l'on en vienne aux coups ; II faut plaider, il faut combattre. Laissez-leur prendre un pied chez vous, Ils en auront bientôt pris quatre.
˹éÒ 46 - C'est donc quelqu'un des tiens; Car vous ne m'épargnez guère , Vous , vos bergers , et vos chiens. On me l'a dit : il faut que je me venge.
˹éÒ 252 - C'était un beau sujet de guerre Qu'un logis où lui-même il n'entrait qu'en rampant. Et quand ce serait un royaume, Je voudrais bien savoir, dit-elle, quelle loi En a pour toujours fait l'octroi A Jean, fils ou neveu de Pierre ou de Guillaume, Plutôt qu'à Paul, plutôt qu'à moi?
˹éÒ 41 - Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous, Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes. On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain. Le fabricateur souverain Nous créa besaciers tous de même manière, '' Tant ceux du temps passé que du temps d'aujourd'hui : II fit pour nos défauts la poche de derrière, Et celle de devant pour les défauts d'autrui.
˹éÒ 55 - ... un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos. Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d'un malheureux la peinture achevée. Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu'il faut faire C'est, dit-il, afin de m'aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère.
˹éÒ 99 - Je suis âne, il est vrai, j'en conviens, je l'avoue; Mais que dorénavant on me blâme , on me loue , Qu'on dise quelque chose, ou qu'on ne dise rien, J'en veux faire à ma tête.
˹éÒ 105 - Tâche de t'en tirer, et fais tous tes efforts : Car pour moi, j'ai certaine affaire Qui ne me permet pas d'arrêter en chemin.
˹éÒ 36 - Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.