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de se joindre aux députés élus par les Téiens qui vont partir pour la Crète. et là, agissant en son nom. d'assurer. partout où il lui sera possible. le succès de leurs démarches. - Le reste nous est connu.

Il faut procéder maintenant à une vérification. Dans ce que l'histoire nous apprend du règne de Philippe. se trouve-t-il place pour ces faits, dont j'ai reconstitué la suite. moins par conjecture que par induction légitime, en partant des observations que suggèrent les inscriptions de Crète?

On sait de reste que. dans l'été de 201. au cours de sa grande expédition d'Asie mineure. Philippe occupa une partie étendue du littoral1). A cette époque. sans doute après sa victoire de Ladé. il fit sentir son autorité à plusieurs cités d'Ionie): on a tout lieu de croire que Téos était du nombre: la ville ayant été jusque là cliente ou même sujette d'Attale3). le Macédonien dut s'empresser de l'enlever à son ennemi. Comme l'ont montré quelques inscriptions de Panamara) trouvées et publiées par G. Cousin, Philippe. soucieux de se rendre favorables les populations grecques de l'Asie qu'il s'était soumises. témoignait volontiers

1) Cf. notamment Polyb., XVIII, 2, 4 (conférences de Nikaia: hiver 198 197): παραχωρεῖν δὲ καὶ Σηστοῦ καὶ ̓Αβύδου καὶ τῶν ἐμπορίων καὶ λιμένων τῶν κατὰ τὴν ̓Ασίαν ἁπάντων.

2) Polyb., XVI, 15.6: entrée triomphale à Milet (après la bataille de Ladé); XVI, 24.9: occupation de Myous, dont Philippe fait remise aux Magnètes (probablement après la bataille de Ladé et avant la marche sur Pergame, en sorte que ce fragment doit être déplacé); ibid.: réquisitions imposées aux Magnètes. - Il n'est pas impossible qu'avant même la bataille de Chios, Philippe se soit assuré de quelques-unes des villes de la péninsule ionienne; pourtant, je ne crois pas qu'il y ait rien de précis à tirer de la phrase (XVI, 2,4): xexeigμivos... tò λοιπὸν ἤδη κομισθήσεσθαι παρὰ τὴν γῆν εἰς Σάμον.

3) Sur l'état de sujétion où Attale Ier tenait la ville de Téos, voir les remarques de Cardinali, Regno di Pergamo, p. 93-95. Elles appellent, je crois, une réserve. Le savant critique écrit (p. 95): È permesso di venire a concludere che nel 218 e nel periodo 216–197 furono in stretta soggezione di Attalo, oltre Mirina ed Ege, .... Cime, Focea, Temno, Teo ete“ J'admets bien volontiers qu'il en fut ainsi de 216 à 201; mais, dans le temps où il envahit le royaume de Pergame, est-il croyable que Philippe ait respecté les dépendances, ou toutes les dépendances, de la monarchie attalide en Ionie?

4) Cousin-Holleaux, BCH, 1904, p. 345–348, 353–359, nos. 1, 3. Le premier décret rappelle les dons faits par Philippe à Zeus Karios; le troisième, les travaux de restauration accomplis par son ordre dans le sanctuaire, après le tremblement de terre de 199/198. De ces textes on devra rapprocher, quand on se décidera enfin à écrire une histoire équitable de Philippe V, le décret de Chalkis, relatif à Magnésie du Méandre, que je cite plus loin, la lettre du roi aux Abaiens (Dittenberger, Sylloge, 253), qui maintient à leur territoire le privilège de l'ététia sacrée, et les inscriptions de Délos qui font connaître ses générosités envers Apollon Délien (BCH, 1907, p. 105, note 1); il sera bon de réagir alors contre l'opinion traditionnelle, mise en circulation par Polybe, qui représente en toute occasion Philippe comme un monstre d'impiété.

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d'un grand respect pour leurs cultes nationaux: il n'y a point à s'étonner qu'il ait entouré le Dionysos des Téiens de la même sollicitude que le Zeus Karios des Panamaréens1). Il est sûr, enfin, que, dans les dernières années du IIIe siècle, son action était puissante en Crète. En 216, il était devenu le roooτátηs, non point de toute l'île, mais de la plupart des Etats insulaires2): en 205/204 ou 204/203, il avait su décider ces Etats amis à combattre les Rhodiens et leurs alliés; il avait fomenté en secret, puis entretenu sournoisement, ayant pour complice le forban Dikaiarchos, cette guerre crétoise" (xontizòs лóλuos), dont les belles découvertes de Herzog à Kos ont permis de retracer quelques péripéties, et qui durait encore en 2013).

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1) On sait que dès 206-203 (selon les calculs de Kern, Hermes, XXXVI (1901), p. 499 et suiv.), Philippe avait invité les villes de Grèce qui dépendaient de lui, notamment Chalkis (Inschr. von Magn., 47 Dittenberger, Sylloge 2, 260), à célébrer les fêtes nouvellement instituées par les Magnètes du Méandre en l'honneur d'Artémis Leukophryėnė. Dans le décret de Chalkis, il n'est point question de l'aovλía de Magnésie on ne peut guère douter, pourtant, que Philippe ne l'ait alors; reconnue, et ne l'ait fait reconnaître aux cités dont il était suzerain. 2) Pol.. VII, 11 (12), 9; 14, 10. Cf. Cardinali, ibid,. p. 3, et Riv. di Filol. XXXIII (1905), p. 526-527; Deiters, Rhein. Mus., LIX, p. 578; Niese, II, p. 431. Il est manifeste que la oоoraoia de Philippe (pour ce mot, appliqué au protectorat de Ptolémée Philométor sur Itanos, voir Kern, Inschr. von Magn., 105, 1. 79; cf. Holleaux, Hermes, XXXIX, p. 80) ne s'étendit jamais à la Crète entière, et que Polybe simplifie les choses à l'excès lorsqu'il écrit (VII, 11, 9): návrag Κρηταιεῖς συμφρονήσαντας καὶ τῆς αὐτῆς μετασχόντας συμμαχίας ἕνα προστάτην ἐλέσθαι τῆς νήσου Φίλιππον, — et (VII, 14, 4): ἅπαντας μὲν εἶχε τοὺς Κρηταιεῖς vлоzɛigious [Philippus]. Certaines villes restèrent soumises, soit à l'influence, soit même, comme Itanos, à la domination de l'Egypte: voir là-dessus l'excellent résumé de Cardinali, Riv. di Filol., XXXV (1907), p. 2—5; cf. Riv. di Stor. ant., IX (1904), p. 80. L'inscription d'Itanos, qui mentionne un poovocozos romain au service de Philopator (Cardinali, ibid., p. 12, note 5), a été publiée dans la Rev. Ét. gr., XXIV (1911), p. 400, n. III. A la 1. 4, il faut naturellement lire: Aɛizios T'aiov Pouaios goovocozóv. J'avais copié ce texte à Candie dès 1905, et m'étais abstenu de l'éditer, par égard pour J. Demargne, qui l'avait découvert et qu'une longue maladie rendait incapable du travail de publication. Il va de soi qu'outre celles qui dépendaient de l'Egypte, d'autres villes crétoises ont pu échapper au protectorat de Philippe.

3) Herzog, Klio, II, p. 316 et suiv. (je dois à la gracieuse obligeance de R. Herzog communication de plusieurs inscriptions inédites découvertes à Kos); cf. Cardinali, ibid., p. 5-11, où toute la question est traitée avec le soin le plus attentif; Niese, II, p. 571. Les origines de la guerre remontent à 205/204 ou 204/203; Diod. ( Polyb.), XXVII, 3; Polyb., XIII, 4, 2; 5, 1 et 3; cf. Polyaen. (=Polyb.), V, 17, 2. Les brigandages de Dikaiarchos (Diod., XXVIII, 1) sont du même temps, comme l'ont bien vu Van Gelder (Gesch. der alt. Rhodier, p. 121) et Büttner-Wobst (Index de son éd. de Polybe, p. *227): c'est à tort que W. König (Der Bund der Nesioten, p. 35—37), s'en tenant à l'opinion commune, les veut rapporter à l'année 202. Mais ce point mérite une étude spéciale, que j'ai depuis longtemps préparée.

Je ne sais si je m'abuse, mais il me semble que tout ici s'arrange à souhait. On se conforme aux données générales de l'histoire et l'on demeure respectueux de toutes les vraisemblances, cependant qu'on rend raison de faits qui, autrement, seraient d'une explication malaisée, lorsqu'on rapporte à l'été de 201 la venue en Crète de Perdikkas, d'Apollodotos et de Kolotès. J'estime donc que cette date peut être acceptée avec confiance. On n'en saurait proposer une plus basse. Car, dès l'automne de 201, la mer était coupée à Philippe: lui-même, avec toute sa flotte, se trouvait enfermé dans le golfe de Bargylia par les escadres unies de Rhodes et Pergame1); et cette situation fâcheuse se prolongea jusqu'au printemps 2): c'est seulement alors qu'usant du subterfuge qu'a raconté Polyen 3), le roi réussit à tromper la surveillance de ses ennemis et à fuir en Europe. On n'imagine pas, vraiment, que, durant cette période de blocus, il ait dépêché Perdikkas en Crète.

Si, comme je le crois, l'ambassade d'Apollodotos est bien de l'été de 201, on voit qu'ainsi que la logique l'exige, elle est à peine plus récente que celle de Pythagoras et de Kleitos dans la Grèce centrale.

II.

Comme ont pris soin de l'indiquer Deiters et Cardinali 4), dans les actes de quelques villes crétoises - Knossos, Polyrrhénia, Rhaukos, Kydonia, Lappa3) —, qui concèdent à Téos les privilèges souhaités, il n'est point

1) Polyb., XVI, 24.

2) Il est, en effet, inexact, bien qu'on le répète sans cesse (voir encore W. König, p. 41), que Philippe se soit échappé d'Asie au commencement de l'hiver de 201/200. Son retour dans ses Etats est du printemps de 200; la phrase de T. Live (Pol.), XXXI, 14, 11: Attalus enim rex Rhodiique persecuti cedentem in Macedoniam Philippum... ne laisse là-dessus aucun doute. La vérité avait été vue par Schorn, Gesch. Griechenl., p. 222; cf. les justes remarques de Matzat. Röm. Zeitr., p. 175, note 8. J'observe, à ce propos, que la chronologie de la guerre de Philippe en Asie est encore trop mal établie; je compte donner prochainement une suite aux études que j'ai déjà publiées sur ce sujet (Klio, IX, p. 450 et suiv.).

3) Polyaen. (= Polyb.), V, 18, 2. Cf. Holleaux, Klio, IX, p. 457, note 2. Le texte de Polyen, qui avait échappé à Niese (II, p. 558), n'a point été remarqué non plus de Herzog; il écrit par erreur (Klio, II, p. 331): „Im Winter 201/0 [?] wird dann allmählich Philipps Lage in Karien unhaltbar, sein Entkommen aus der Blokade verdankt er wohl wieder den Kretern"; de même, Cardinali, ibid., p. 9.

4) Deiters, Rhein. Mus., LIX, p. 578, n. 5 (énumération incomplète); Cardinali, ibid., p. 14, note 1. Les documents qui proviennent de Hiérapytna, Aptéra, Biannos et Apollonia demeurent nécessairement hors de cause, en raison de leur état de mutilation.

5) Au sujet de Knossos, la remarque de Cardinali (1. 1.) est tout-à-fait topique: „Se dei legati fossero intervenuti, anche a loro come agli ambasciatori dei Teii, sarebbe stata concessa la prossenia“. Le décret de Lappa (Waddington, 68) n'a

parlé de Perdikkas. On ne croira pas, pourtant, qu'un si haut personnage, représentant d'un si grand souverain, ait pu être victime d'une prétérition offensante; et l'on ne saurait admettre non plus que le silence gardé sur lui soit l'effet d'une inadvertance. Si, dans certains décrets, on n'en a pas fait mention, c'est qu'il ne parut point dans les villes par qui ces décrets furent votés: et s'il n'y parut point, lui patron attitré des Téiens. à qui ses instructions prescrivaient sûrement de faire dans l'île une tournée aussi complète qu'il pourrait, on n'en découvre d'autre raison, sinon qu'il estima sage de ne pas s'y rendre. prévoyant sans doute que son aide n'y servirait pas de grand chose à ses protégés, que sa parole y serait peu écoutée et que sa personne même risquerait d'y être médiocrement accueillie. Et cela revient simplement à dire qu'en Crète, en 201, il se trouvait plusieurs villes ou demeurées jusque là indépendantes de la Macédoine, ou s'en étant récemment séparées qui avaient pris ou faisaient mine de prendre à son égard une attitude hostile. La chose n'a rien qui puisse étonner: au contraire, elle s'accorde parfaitement avec ce que nous savons par ailleurs. L'ambassade que l'Athénien Képhisodoros fit expédier en Crète 1) dans les premiers mois de 200, afin d'y susciter des ennemis à Philippe, tandis que d'autres allaient implorer pour Athènes le secours d'Attale, des Rhodiens et des Aitoliens, démontre l'existence dans l'île, à cette époque, d'un parti anti-macédonien en bons rapports avec tous les adversaires du roi2). Nos gardé que ses 8 premières lignes et une petite partie de la 9e (je pense que les 1. 7-9 doivent être restituées ainsi, à l'exemple du décret de Rhaukos: xai лɛgi τῆς ἀσυλίας τῆς τε πόλεως καὶ | τῆς χώρας παρεκάλεσαν, ἔτι δὲ καὶ] τοῦ παρ' ̓Αντιόχου | τοῦ βασιλέως ἀποσταλέντος πρεσβευτοῦ ̔Αγησάν]δρου παρα|[καλέσαντος μerà návoσas oлovdãç xtλ.]); il se pourrait, à la rigueur, que Perdikkas y eût été mentionné après Hagésandros, ambassadeur d'Antiochos, comme c'est le cas à Eleutherna; mais la chose est bien peu probable. Cardinali fait observer avec raison (1. l.) que la lettre des kosmoi de Polyrrhénia est d'une rédaction singulièrement brève et sèche; je ne puis croire toutefois qu'on y ait poussé la concision jusqu'à faire intentionnellement le silence sur la présence de Perdikkas.

1) Pausan., I, 36, 5—6. Pausanias s'exprime avec une telle confusion qu'il est bien difficile de fixer la chronologie des faits qu'il rappelle. Contrairement à ce que pense Ferguson (Hellenist. Athens, p. 269-270 et note 2 de cette dernière page), je ne crois pas qu'il faille dater de 201 les ambassades envoyées d'Athènes en Egypte, en Crète, à Attale et aux Rhodiens. L'invasion des MacédoAkarnaniens en Attique n'est pas antérieure, comme je le montrerai ailleurs, aux premiers mois de 200.

2) L'épigramme bien connue en l'honneur du Milésien Lichas, fils d'Hermophantos, découverte à Milet par Wiegand, nous apporterait encore un supplément de preuve, si vraiment, comme on le pense d'ordinaire, elle a trait aux événements de l'an 200 (voir les excellentes remarques de Cardinali, ibid., p. 11, note 2; cf. Herzog, Klio, II, p. 331 --332). Mais je garde encore quelques doutes. En tout cas, il n'y a pas la moindre raison de lui assigner pour date, comme le veut Deiters (Rhein. Mus., LIX, p. 577), l'année 216; cf. à ce propos Lenschau, Jahresber, über die griech. Geschichte (1903-1906), p. 210.

décrets nous reportent au temps où il commença de se former1); dès 201, il comprenait, probablement avec d'autres cités, celles où Perdikkas jugea inopportun de se rendre2); parmi ces dernières, nous pouvons compter Knossos, Polyrrhénia, Rhaukos, Kydonia et Lappa.

Nous ne saurions dire pour quelles raisons se constitua ce parti. Nous ignorons comment naquit et se propagea en Crète cette opposition à la Macédoine, sur laquelle nos inscriptions nous fournissent le plus ancien renseignement que nous possédions; mais ces mêmes inscriptions nous apprendront peut-être de quelle manière et par quels effets elle commença de se manifester, et sous l'action de quelle influence étrangère.

III.

Ce qui précède me semble assez solidement établi et peut être tenu au moins pour très vraisemblable. Dans ce qui va suivre, la place faite à la conjecture est plus grande que je ne voudrais. J'ai hâte de le déclarer, afin qu'on ne me reproche pas de ne m'en être pas avisé.

En Crète, tandisque que Perdikkas travaillait de son mieux à se rendre utile aux Téiens, l'ambassadeur d'un autre souverain s'employait aussi, occasionellement. en leur faveur. C'était le Rhodien Hagésandros. fils d'Eukratès, envoyé du roi Antiochos", lequel ne peut avoir été qu'Antiochos III ὁ παρὰ τῷ βασιλέως Αντιόχω πρεσβευτάς (Eleutherna; cf. Rhaukos, Lappa)").

A Rhaukos, à Lappa, à Eleutherna, on nous le montre parlant à la suite d'Apollodotos et de Kolotès et appuyant leur requête 4). De là

1) Les origines en remonteraient, selon Deiters, à l'année 204. Il écrit (Rhein Mus., LIX, p. 575): „Übrigens dauerte Philipps Vorherrschaft auf der Insel nicht allzu lange: als er im Jahre 204 die Kreter zum Kampf gegen Rhodos aufrief, fand er schon nicht mehr allgemeine Zustimmung.“ Il se peut qu'il ait raison; mais j'ignore sur quoi se fonde et de quels textes s'autorise son affirmation.

2) Sur les monnaies de type attique, qui furent frappées à Knossos, Kydonia, Gortyne, Hiérapytna, Polyrrhénia, Priansos, et qu'on rapporte à l'année 200, cf. Head, Hist. num., p. 462; Hill, Histor. Gr. coins, p. 134–136. Remarquons que Knossos, Kydonia et Polyrrhénia sont justement trois villes où s'abstint de venir Perddikas.

3) Ce n'est pas le seul Rhodien chargé par Antiochos III d'une mission à l'étranger. Boeckh (CIG, II, p. 635, ad n. 3047) rapelle fort à propos qu'Euklès, compatriote d'Hagésandros, négocia le mariage de Kléopatra, fille du roi, avec Ptolémée Epiphanès: Hieronym., in Dan., XI, 17. Cf. Van Gelder, p. 122. Peut-être le Rhodien Ménélaos, fils de Ménékratės, qui est appelé qikos tov ẞasikéog Avtiózor dans une inscription de Kalymna (Dittenberger, OGI, 243), était-il aussi au service d'Antiochos III.

4) On ne peut savoir s'il en fut de même à Hiérapytna, Aptéra, Biannos et Apollonia, les décrets qui proviennent de ces quatre villes étant, comme je l'ai dit, trop incomplets. Niese s'exprime très inexactement lorsqu'il écrit

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