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Lionel O'Radiguet (Ste-Ursanne).

Observations sur le passé et les Survivances
Druidiques en Rauracie.

(Wurde nicht vorgelesen).

(Résumé).

Obligé, par une attaque de typhus, de quitter Bâle, le Jour de l'Ouverture du Congrès, M. Lionel Radiguet n'a pas pu lire à la Section VII son mémoire sur le passé druidique de la Rauracie dont voici le résumé:

Dans la première partie, l'auteur du mémoire s'est attaché, d'après tous les documents de l'histoire générale et locale, à décrire la Rauracie pré-Romaine au point de vue géographique, ethnographique, linguistique, social et religieux. L'auteur du mémoire s'occupe ensuite des Doctrines du Druidisme et de son organisation, en Gaule et dans la Celtide insulaire, en mettant en lumière la commune origine ésotérique probable des Bompos, des Chamans et des Druides qui, avec des différences dans la mise en scène cultuelle, exercèrent le même sacerdoce religieux, arbitral et astrologique.

Et l'auteur du mémoire conclut, avec le professeur Gaidoz, que, tout en s'élevant jusqu'aux solutions spiritualistes de l'au-delà et du devenir, dans la pratique courante de son ministère sacerdotal, le Corps druidique est resté confiné aux pratiques de la basse Mythologie.

Au sujet de l'enseignement donné par les Druides, l'auteur du mémoire remarque qu'une de ses branches présentait un intérêt tout spécial c'était l'art Bardique qui résumait alors la poétique et la musique et qui continua, après la disparition des Druides, à tenir une place si importante dans la culture des cloîtres cénobitiques d'Irlande et de Cambrie.

Au point de vue de l'unité de l'art poétique et de l'art musical, remarque ensuite l'auteur du mémoire, il est bien regrettable

que le cinquième des Canoniques chinois n'ait pas surnagé, ainsi que les quatre autres, à la destruction des Livres, tout portant en effet à supposer que le Yo King contenait les Canons de l'art d'analogie que les anciens appelaient la musique.

Au sujet de l'art de la musique chez les anciens Celtes, un compilateur du VIme siècle, Mac Amalgard n'a-t-il pas noté, dans son Histoire des endroits remarquables d'Irlande, qu'aux temps du Roi Geïde: "Les gens trouvaient les voix humaines plus douces encore que les accents d'une harpe mélodieuse"?

En abordant la dernière partie de son travail, après avoir étudié les étymologies celtiques du Jura-Rauracien, l'auteur du mémoire fait remarquer que l'inventaire complet et critique des vestiges du culte druidique en Rauracie n'existe pas encore et que son ambition ne saurait aller plus loin que d'énumérer quelques points de repère intéressants pour l'étude de la Rauracie des Druides. Et, partant du Buchsgau, au nord du lac de Bienne, en remontant vers le nord, il décrit, successivement, le bloc erratique autel du Heidenstein dans la forêt de Brugg; le sanctuaire des Rochers de Courroux; les rochers du Beridiai, sur l'autre rive de la Birse; la Pierre de l'Autel sur le Mont Repais, aux limites du Salsgau et de l'Elsgau; le sanctuaire de la Dame de Mai à Bourrignon et, enfin, dans la plaine d'Elsgau, au pied du Mont Terrible, le menhir si remarquable de la Pierre Percée à Courgenay. L'auteur du mémoire conclut ensuite ainsi son travail, après avoir passé en revue quelques-unes des survivances Celtiques en Rauracie:

Composant, en Rauracie comme en Irlande et en Armorique, avec certains des vieux usages Celtiques, le prêtre allait bénir les fontaines comme il se rendait aux Brandons allumer la Heutte...

De nos jours, la médecine n'a pas plus réussi que l'Eglise à venir complètement à bout des survivances de l'époque druidique et les braves gens de la campagne et même des villes s'adressent encore aux Rebouteurs et aux empiriques pratiquant ce que l'on appelle le secret.

Aussi bien dans le Jura-Bernois qu'en Irlande et en BretagneArmoricaine, c'est jusque dans la modalité et le particularisme des

pratiques catholiques des populations qu'il est facile de retrouver la survivance druidique.

Ce passé, ces atavismes pourraient aussi être attestés par l'inspiration des artistes au ciseau desquels sont dus certains motifs de décoration de l'Eglise du Folgoat en Armorique et de la vieille Collégiale de Ste-Ursanne, inspiration qui ne diffère d'ailleurs pas de celles des calligraphes qui enluminèrent les vieux manuscrits conservés à Dublin.

VIII. Sektion,

Christliche Religion.

Dr. S. A. Fries (Stockholm).

Was bedeutet der „Fürst dieser Welt" in Joh. 12, 31; 14, 30; 16, 11? Ein Beitrag zur vergleichenden Religionsgeschichte des Christentums.

(Résumé.)

Der in den betreffenden johanneischen Stellen vorkommende Titel ὁ ἄρχων τοῦ κόσμου τούτου, oder, nach richtigerem Text, ¿ ǎozov tov zócμov, entsprechend dem hebräischen yn ny, braucht nicht dasselbe zu bedeuten wie gewisse ähnliche, aber keineswegs identische Ausdrücke bei Paulus (2. Kor. 4, 4; Eph. 2, 2), Ignatius (Eph. 19) und im Barnabas-Briefe (K. 18), welche den Teufel als Gott dieser Zeit“, „Fürsten, der im Luftkreise herrscht“ und „Fürsten über das Zeitalter der Gesetzlosigkeit“ bezeichnen. Die schon von den Tagen des Origenes her herrschende Meinung, dass ó ǎozov tov zóopov eine Bezeichnung des Teufels sei, erfordert demnach ihre noch nicht vollführte kritische Untersuchung.

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Die moderne Exegetik ich weiss nicht gewiss, wann es zum erstenmal geschehen ist. hat als Stütze für die Deutung, dass ó aoxov tov xóoμov den Teufel bedeute, auf Eisenmengers „Entdecktes Judentum" (1711) verwiesen, nach welchem Verfasser

in der jüdischen Literatur den Teufel bedeuten sollte. Dies ist indessen nicht richtig. Der Teufel oder Sammael wird niemals mit diesem Namen bezeichnet, weder in Eisenmengers Buch noch in irgend einer anderen mir bekannten jüdischen Schrift.

Auch der Rabbiner in Stockholm, Professor G. Klein, hat mir privatim erklärt, dass er keine Aussage in den jüdischen Schriften kenne, in welchen Sammael als „der Fürst der Welt" bezeichnet wird. Die Zitate, die von Hallenberg (1800), Gfrörer (1838) und Schlatter (1902) angeführt wurden, sind sämtlich falsch verstanden worden. Sammael wird freilich Edoms Fürst, Moabs Fürst, Amaleks Fürst, Roms Fürst u. s. w., aber nicht „Fürst der Welt" genannt, welcher Titel entweder Gott selbst oder dem „,alter ego" Gottes,

oder Metator (מטטרון) oder Metatron (מיטטרון dem Mitatron

(1), zukommt. Selbst wenn es der Fall wäre, dass wirklich der Teufel irgendwo der „Fürst der Welt" genannt würde, schliesst dies die Pflicht nicht aus, sondern schliesst dieselbe vielmehr ein, zu prüfen, welche Bedeutung der Fürst der Welt" im vierten Evangelium hat.

In Bezug auf die jüdische Mitatronslehre möchte ich kurz an Folgendes erinnern:

Inmitten des siebenten Himmels befindet sich die Wohnung Gottes. Nur Mitatron ist berechtigt, im göttlichen Gemach Platz zu nehmen, um mit Gott selbst zu reden. Daher ist er auch ein

Echo von Gott, die Stimme Gottes (bp). Mitatron ist freilich ein von Gott erschaffenes Wesen, aber es gibt eine Tendenz, ihn zu einem präexistierenden Wesen zu machen. Jedenfalls wird er mit Henoch identifiziert, in welchem auch der Messias präexistiert haben sollte. Er ist Vorläufer und Raumbereiter, der da ordnet und der da anschafft. Identifikationen sowohl mit Jona und Elia, als auch mit Michael sind angedeutet. Eine gewisse Ähnlichkeit mit dem Messias ist auch festzustellen. Indessen steht Mitatron hoch über allen anderen Zwischenwesen. Er ist der Sekretär Gottes wie auch der Tröster Gottes. In seiner Eigenschaft als Vertrauter Gottes wird er ', der Fürst des Antlitzes" oder „der Fürst, der in der Wohnung Gottes sitzet" genannt. Er ist demnach kein anderer als „der Engel des Antlitzes Gottes“ oder „der Engel des Herrn", von welchem an mehreren Stellen im Alten Testament die Rede ist, und der hier als geradezu identisch mit Gott selbst in Rede und Handlung dargestellt wird (Ex. 3, 2 ff; 23, 21 ff; 33, 14; Gen. 16, 10; 22, 15 f; Jes. 63, 9). In Sanh. 38b

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