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Kampf gegen den römischen Absolutismus als eine deutsch-nationale Ehrenpflicht. Hier find wir Eins, hier bleiben wir Eins.

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Darf ich zum Schlusse wenigstens noch hindeuten auch auf das tiefer liegende religiöse Interesse, welches die sonstige Harmonie vieler unserer Grundansichten erst krönt und weiht? Es liegt wahrlich nicht ferne in einer Zeit des tief erschütterten Gottesglaubens. Im VerLaufe des vergangenen Jahres sind über die leßten großen Fragen des Christenthums und der Religion selbst Verhandlungen gepflogen worden, die keinen Unterschied mehr zwischen Ihnen und uns erkennen ließen, sondern nur gemeinsames, tapferes Eintreten für das bedrohte Heiligthum des christlichen Volksbewußtseins. Und ist nicht auch darüber das Bedürfniß nach weiter gehender Verständigung nur gewachsen? Ich glaube ja.

Allerdings wird schließlich nicht Lehrbegriff und Dogma, nicht Cultus und Verfassung diese Verständigung bringen, sondern die Gleichheit unserer beiderseitigen Lage, die Selbigkeit unserer Feinde, die Gemeinsamkeit unserer leßten und theuersten Ideale. Im Hinblicke auf das Schicksal, was uns bedroht, wenn wir unterliegen, im Hinblick auf die endliche Erfüllung längst gehegter, heißer Wünsche und Gebete, die uns winkt, falls unser Werk gelingt, dürfen wir uns gegenseitig zurufen: Haltet aus! Ein heiligerer Kampf ist nie gekämpft worden. In diesem gemeinsamen Kampfe, es kann nicht ausbleiben, werden wir uns achten und lieben lernen. Wir wollen da und dort nichts anderes als vielverkannte Mächte wieder zu Ehren bringen; wir wollen der Welt beweisen, daß Wahrheit und wissenschaftliches Gewissen, daß Wort und Ehre des Mannes wohl vereinbar sind mit seiner Stellung in der Kirche; daß man ein treuer Sohn seiner Kirche sein kann und zugleich männlich auftreten, wo es gilt festzuhalten an den politischen Errungenschaften der lezten Jahre, zu wahren die Selbständigkeit des Staates und die bürgerliche Freiheit, sicher zu stellen die Rechte des Familienlebens, der Ehe, der Schule und der Wissenschaft.

Wo so Vielem, was trennt, so Vieles gegenübertritt, was einigt, da lassen Sie uns einen Wink Gottes verehren! Nie wenigstens soll menschliche Leidenschaft und Rechthaberei zwischen uns höher gelten, als das Bewußtsein, daß uns auf unseren jezt noch auseinanderlaufenden Bahnen schließlich dieselben Sterne leuchten!

IV.

Discours prononcé le 11. septembre 1873 à la séance d'ouverture du congrès des anciens-catholiques.

Messieurs!

„Je suis charmé autant que surpris de l'amabilité avec laquelle M. le Président du comité de Constance a bien voulu me prier d'adresser quelques paroles dans cette assemblée, où tant d'hommes éminents par leur science ont plus que moi le droit d'être entendus. Je pense que le principal motif de l'honneur qui m'est fait, est dans l'étrange contraste qui se présente actuellement à votre pensée, à savoir: d'une part, les ultramontains français se livrant à toutes les folies imaginables et inimaginables, et d'autre part, un français venant travailler avec vous au triomphe du catholicisme chrétien contre le catholicisme romain.

„Hélas! messieurs, je dois l'avouer avec confusion, de même que, en 1871, nous avons eu en France la commune rouge de la démagogie, ainsi nous avons, en ce moment, la commune blanche de l'aristocratie d'ancien régime et de droit divin. La première était pire que la seconde pour les yeux du corps, à cause de ses pillages, de ses incendies et de ses massacres; mais peut-être la seconde est-elle pire que la première pour les yeux de l'esprit, à cause des insanités prétendues raisonnées et des intrigues indignes qu'elle étale au grand jour. Dans cette commune blanche de l'aristocratie d'ancien régime et de droit divin, il y a le hideux accouplement du fanatisme politique et du fanatisme religieux. Oui, messieurs, nous avons nos derviches hurleurs en politique et nos derviches tourneurs en religion. Leurs cris et leurs danses vous paraissent ridicules. Cependant vous ne les voyez que de loin. Que serait-ce, si vous les voyiez de près ?

"Mais, messieurs, je vous en conjure, ne croyez pas que ce soit là la France. Non. Ce n'est là qu'un parti, et un parti en infime minorité. Tous ces hommes s'agitent avec grand tapage, pour faire croire qu'ils sont nombreux; ils se font à eux-mêmes des échos dans leurs propres journaux. Mais ce ne sont là que des échos trompeurs, échos de sacristie et de vieux donjon. Au fond, quand on examine de près quels sont ces fameux péleri

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nards qui veulent se faire passer pour les saints et les croisés du XIXe siècle, on trouve, à côté d'ignorants et d'ignorantes de bonne foi, d'abord des politiques qui veulent pousser le peuple à crier: Vive le Roi!" en même temps que Vive Pie IX.!" puis des intriguants qui veulent être bien notés des jésuites et arriver par leur protection à tel ou tel poste administratif lucratif, et enfin des curieux et des gens frivoles qui veulent faire des voyages de plaisir dans des sites charmants, avec le confortable des meilleurs buffets, et tout cela à prix réduit. Tels sont, messieurs, les pèlerinards français d'aujourd'hui. Ce n'est que cela.

„Donc ce n'est pas le France. Encore une fois, j'en jure sur la conscience de mon pays, ce serait le calomnier et l'insulter que de le croire tombé si bas. Les ultramontains ont beau grossir leur voix, ils ne sont en réalité qu'une minorité de circonstance.

„Cependant, messieurs, ce n'est pas à dire pour cela que tout le reste de la France marche avec les anciens-catholiques. Non, je ne veux pas plus exagérer le bien que je n'exagère le mal. S'il y a en France des gens qui croient à tout, il y en a aussi qui ne croient à rien. A côté des superstitieux et des fanatiques qui ridiculisent Dieu avec leurs miracles quotidiens d'eaux lustrales sulfureuses, il y a, d'autre part, des athées qui nient Dieu en théorie, des rationalistes négatifs qui le nient en pratique, et des indifférents qui, sans nier Dieu, traitent la religion absolument comme si elle n'était pas. Ce sont là les deux partis extrêmes: l'extrême gauche de Voltaire, et l'extrême droite d'Jgnace de Loyola.

„Mais, messieurs, entre ces deux extrêmes, il y a le milieu du Christ. Oui, il y a en France des hommes qui sont couvaincus, ne fût-ce qu'au souvenir de la commune de 1871, qu'un peuple ne peut pas se passer de religion et que cette religion doit être positive et pratique. Nés catholiques, ils veulent rester catholiques, non pas catholiques romains selon le Syllabus et selon les dogmes du Vatican et du moyen âge, mais catholiques chrétiens, harmonisant ensemble la raison et la foi, conciliant le principe d'autorité avec le principe de liberté. Or, je l'espère, ce catholicisme scientifique, philosophique et réellement libéral, ce sera non seulement l'ancien-catholicisme d'Allemagne, mais encore l'ancien-catholicisme de France.

"Il est vrai, messieurs, que les hommes qui pensent ainsi ne forment pas un groupe visiblement et extérieurement considérable.

Cela tient, entre autres causes, à l'hostilité avec laquelle le gouvernement de rencontre du 24 mai est disposé à appliquer la ridicule loi qui défend les réunions politiques et religieuses de plus de 20 personnes, et surtout à l'injustice avec laquelle il refuse d'appliquer aux anciens-catholiques, pour le réserver exclusivement aux ultramontains, le bénéfice des droits garantis par le concordat de 1801 à tous les catholiques. Mais de ce que tous les Français qui veulent à la fois rester catholiques et repousser l'ultramontanisme, ne sont ni groupés ni organisés extérieurement comme ils devraient l'être, il n'en résulte pas qu'ils n'existent pas en réalité. Permettez-moi, messieurs, une comparaison. L'eau que vous voudriez voir n'est pas encore visible; mais l'hydrogène et l'oxygène existent en quantité considérable: en sorte qu'il ne manque qu'une vaste étincelle électrique, pour fusionner ces deux éléments et pour produire cette eau dont nous avons tous soif Or, messieurs, cette vaste étincelle jaillira un jour, peut-être même beaucoup plus tôt qu'on ne le pense généralement.

„En attendant, nous, anciens-catholiques de Paris, nous faisons peu de bruit; et nous nous en consolons aisément, en songeant que le bruit ne fait pas toujours de bien et que le bien quelquefois ne fait pas de bruit. A la vue des actes de démence commis. journellement par ces hommes de l'ultramontanisme qui osent se dire français et qui placent les lois de la curie romaine au-dessus des lois de leur pays, au-dessus même de leur raison et de leur propre conscience, je me seus rempli non pas de mépris, mais de pitié et de dégoût, et je fais comme le Dante: je regarde et je passe." Attristé des bassesses du présent, je me réfugie dans l'avenir, qui, selon le mot de notre illustre Lacordaire, est „le grand asile et le grand levier." N'ayant pas comme vous le pouvoir de faire des réformes sur le terrain de la discipline et de l'organisation extérieure, par suite de l'ultramontanisme de notre gouvernement qui nous les rend impossibles, nous tâchons de faire des progrès sur le terrain des idées théologiques, en travaillant à les rendre de plus en plus rationelles et plus claires, et nous essayons ainsi de nous rapprocher le plus possible des autres églises chrétiennes, avec lesquelles nous voulons avoir non seulement une union de sympathie, mais encore une union réelle de foi et de prière.

„L'important, messieurs, n'est pas de jouer le grand coup d'echec et mat, mais de le préparer. Or, soyez en sûrs, en France

nous le préparons. Jugez vous-mêmes du progrês qui s'est opéré. Il y a quatre siècles, il y avait ici, dans cette salle même, un français, Gerson. Gerson, qui cependant défendait les doctrines gallicanes contre le despotisme ultramontain, a concouru au supplice de Jean Huss. Aujourd'hui il y a parmi vous un français catholique, qui est plus libéral que Gerson et qui croit en cela être aussi plus chrétien; car le supplice de Jean Huss, je le reprouve avec toute l'indignation dont mon âme est capable, et je l'appelle, non pas un supplice, mais un martyre. Dans quelques années, messieurs, au lieu d'un français, il en viendra un nombre considérable, qui tous avec vous diront tout haut ce qu'en ces temps de prudence diplomatique ou croit malheureusement pouvoir ne dire que tout bas. En eux je salue mes frères de l'avenir, et en vous, messieures, à quelque nationalité que vous apparteniez, sur le terrain religieux, je salue mes frères du présent.“

V.

Worte des Rev. Dr. Howson, Dechants von Chester.

Hochverehrte Versammlung! Nicht möchte ich, daß dieser Abend verstreicht, ohne daß Jemand Ihnen die Sympathien der anglicanischen Kirche dargebracht hätte. Zwar hat keiner der anwesenden Engländer dazu eine eigentliche Vollmacht erhalten. Dieses ist aber nicht nöthig. England ist ja in einem gewissen Sinne des Wortes die Wiege der Reformation; der Morgenstern der religiösen Erneuerung ging ja in England auf. Es war Wiklef, der in Wort und Schrift das Volk aufforderte, die römischen Fesseln abzuwerfen, und wenn auch nicht das ganze Volk sogleich von diesen Ansichten erfaßt wurde, so ist es eine unwiderstreitbare Thatsache, daß diese Bestrebungen in England nicht mehr erdrückt werden konnten, bis sie zur Reformationszeit zur ganzen Geltung kamen. No popery kein Papismus ist das englische Losungswort! Es ist darum gewiß unbezweifelbar, daß alle Herzen des englischen evangelischen Volkes den Altkatholiken entgegen schlagen. Der ganze englische Episcopat verfolgt die altkatholische Bewegung mit der gespanntesten Aufmerksamkeit. Von dieser Thatsache haben Ihnen ja die Bischöfe von Lincoln und Ely die sprechendften Beweise gegeben, und ich habe die festeste Ueberzeugung, daß der

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