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nous rien apprendre. Elles sont affirmatives ou negatives. Les conséquences de Logique se démontrent par les principes identiques. 11) ib. p. 33. 380 sq. 12) ib. p. 387 sq. 13) ib. p. 30. Je crois que toutes les pensées et actions de nôtre ame viennent de son propre fond, sans pouvoir lui être données par les sens. p. 58. J'ai dit encore que nous sommes, pour ainsi dire, innés à nous mêmes, et puisque nous sommes des êtres, l'être nous est inné; et la connoissance de l'être est enveloppée dans celle que nous avons de nous mêmes. 11 y a quelque chose d'approchant en d'autres notions générales. 14) ib. p. 67. On m'opposera cette axiome, reçû parmi les philosophes: que rien n'est dans l'ame qui ne vienne des sens. Mais il faut excepter l'ame même et ses affections. Nihil est in intellectu, quod non fuerit in sensu, excipe: nisi ipse intel lectus. Or l'ame renferme l'être, la substance, l'un, le même, la cause, la perception, le raisonnement, et quantité d'autres notions, que les sens ne sauroient donner. p. 128. 16) ib. p. 10. Ces petites perceptions sont donc de plus grande efficace qu'on ne pense. Ce sont elles, qui forment ce je ne sai quoi, ces gouts, ces images des qualités des sens, claires dans l'assemblage, mais confuses dans les parties; ces impressions que les corps, qui nous environnent, font sur nous et qui enveloppent l'infini; cette liaison que chaque être a avec tout le reste de l'univers. On peut même dire qu'en conséquence de ces petites perceptions le présent est plein de l'avenir et chargé du passé, que tout est conspirant (ouvola Távτa comme disoit Hippocrate) et que dans la moindre des substances, des yeux aussi perçans, que ceux de Dieu, pourroient lire toute la suite des choses de l'univers. 17) ib. p. 72 sq. 18) ib. 64. թ. 20) ib. p. 176 sq. p. 107 sq.

p. 108.

21) ib. p. 82.

23) ib. p. 247. Le lieu ou le temps,

15) ib.

19) ib. 22) ib

bien loin

de déterminer d'eux mêmes, ont besoin eux-mêmes d'être déterminés par les choses qu'ils contiennent,

matière.

27) ib. p. 85.

24) ib. p. 111 sq. 26) ib. p. 116 sq. 26) ib. p. 183. Les véritables loix du mouvement sont derivées d'une cause supérieure à la 28) ib. p. 107. Croyez vous donc, monsieur, que les accidens peuvent subsister hors de la substance? Ou voulez-vous, qu'ils ne sont point des ètres réels? 29) ib. p. 176 sq. 30) ib. p. 356. 31) ib. p. 367 sq. Lorsqu'il s'agit par exemple de la figure d'un miroir, qui ramasse tous les rayons parallèles dans un point

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comme foyer, on peut trouver plusieurs propriétés de ce miroir, avant que d'en connoitre la construction, mais on sera en incertitude sur beaucoup d'autres affections, qu'il peut avoir, jusqu'à ce qu'on trouve en lui ce qui répond à la constitution interne des substances, c'est-à-dire, la construction de cette figure du miroir, qui sera comme la clef de la connoissance ultérieure. — 32) ib. p. 310 sq. 33) ib. p. 108. Je crois que la considération de la substance et un point des plus importans et des plus féconds de la philosophie.

p. 183.

34) ib.

35) ib. p. 187. 36) ib. p. 343 sq. 37) ib. p. 357 sq. 38) ib p. 400 sq. L'apperception immediate de notre existance et de nos pensées nous fournit les prémières vérités à posteriori ou de fait, c'est-à-dire les prémières expériences; comme les propositions identiques contiennent les prémières vérités à priori ou de raison, c'est-à-dire prémières lumières. 39) ib. p. 187. Il n'y a point de terme si absolû ou si detaché, qu'il n'enferme des relations et dont la parfaite analyse ne méne à d'autres choses et même à toutes les autres; de sorte qu'on peut dire, que les termes relatifs marquent expressement le rapport qu'il contiennent. J'oppose ici l'absolù au relatif, et c'est dans une autre sens que je l'ai opposé ci-dessus au borné (nota 25).

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p.

-

42) ib.

44) ib. p. 357.

40) ib. p. 87 sq. 221 sq. 41) ib. 346 sq. p. 370 sq. 43) ib. p. 186 sq. 45) ib. p. 176 sq. 219 sq. 265. 46) ib. p. 178 sq. 47) Die gewöhnliche Uebersehung durch,, Verworrene VorFellung“ ißt, weil diesem Ausdruck der Begriff der Unordnung anhaftet, weder der Hypothese einer geseßmäßig pråstabilirten Harmonie, noch dem Begriff des zusammenfassenden Denkens", welchen Leibniz geradezu ausspricht, angemessen. 48) ib. p. 368 sq. 49) ib. p. 332. 50) ib. p. 363. La vérité metaphysique (c'est-à-dire l'existence réelle des choses, conforme aux idées que nous en avons) est prise vulgaire. ment par les metaphysiciens pour un attribut de l'Être, mais c'est un attribut bien initule et presque vuide de sens. Contentons nous de chercher la vérité dans la correspondence des propositions, qui sont dans l'esprit, avec les choses dont il s'agit. Il est vrai que j'ai attribué aussi la vérité aux idées en disant que les idées sont vraies ou fausses; mais alors je l'entends en effet de la vérité des propositions, qui affirme la possibilité de l'objet de l'idée. Et dans ce même sens on peut dire encore qu'un Etre est vrai, c'est-à-dire la proposition, qui affirme son existence actuelle ou du moins

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'p. 351 sq.
54) ib. p. 27. Ce système paroit allier Platon
avec Democrite, Aristote avec Des - Cartes, les Scholastiques
avec les Modernes, la Theologie et la Moral avec la Raison.
Il semble qu'il prend le meilleur de touts cotés, et que puis
après il va plus loin qu'on n'est allé encore. p. 346. La
difficulté qui reste, n'est que par rapport à ceux, qui veulent
imaginer qui n'est qu'intelligible, comme si vouloient
voir les sons, ou écouter les couleurs. - p. 348. Qu'y a-t-il
de plus important, supposé qu'il soit vrai, que ce que je
crois que nous avons déterminé sur la nature des substances,
sur les unités et les multitudes, sur l'identité et la diversité,
sur la constitution des individus, sur l'impossibilité du vuide
et des atomes, sur l'origine de la cohésion, sur la loi de la
continuité, et sur les autres loix de la nature; mais principa-
lement sur l'harmonie des choses, l'immatérialité des ames,
l'union de l'ame et du corps, la conservation des ames, et
même de l'animal, au delà de la mort. Et il n'y a rien
en tout cela, que je ne croie démontré ou dé-
montrable.

S. 10. Leibniz bemerkt, daß Locke dem Princip angeborener oder apriorischer Wahrheiten nicht schlechthin zuwider sein könne, weil er neben der finnlichen Erkenntniß zugleich die Reflerion als zweite Quelle unserer Begriffe annehme. Umgekehrt muß von Leibniz gesagt werden, daß ihm die Wahrnehmung mittelst der Sinne nicht nur als sehr achtungswerth, sondern geradeswegs als unerläßlich erscheine. Wenn die Sinne den Stoff zum Überdenken liefern, und wir niemals zu Begriffen gelangen würden, falls die Erfahrung keine Veranlassung dazu gäbe; wenn auf die Frage, ob die Anerkennung gewisser Wahrheiten nicht vielmehr aus der Anschauung der Natur der Sachen, die kein anderes Urtheil gestatte, als aus Säzen, die ein ursprüngliches Eigenthum des Denkens seien, erfolge, geantwortet wird, Beides sei richtig, indem die Natur der Sachen mit der Natur des Denkens zusammentreffe und die Erkenntniß jener häufig nichts Anderes sei, denn eine Erkenntniß der Natur unseres Geistes 1); wenn Leibniß wiederholendlich auf die Gleichheit des Gewichts dringt, welche der Empfindung, wie den ewigen Wahrheiten in einem objectivgiltigen Erkennen zustehe,

berdieß bereit ist, die Namen des Apriorischen und Aposteriorischen preiszugeben, wenn nur den Begriffen Genüge geschehe: so bleibt es ungewiß, ob die vermeintliche Nothwendigkeit und Allgemeingiltigkeit des Apriorischen mehr in diesem selbst oder in den gegebenen Erfahrungsbegriffen, sofern ihnen in einem geseßmäßigen Denken Folge geleistet wird, ihren Grund habe. Auf der andern Seite ist nicht zu verkennen, daß die reinen Begriffe bei Leibnig eine Oberhoheit und eine Art gebieterischen Ansehens behaupten, welche Schuld gewesen, daß minder große Denker sich der Machtsollkommenheit derselben sorglos unterwarfen. Gleichwohl ist diese Machtvollkommenheit eine bloße Thatsache: Leibnigens prästabilirte Harmonie spricht fie als eine solche aus. Die Monaten find nun einmal so eingerichtet, daß sie unter Anderem auch durch reine Begriffe denken müssen. Es fehlt siel daran, daß das Princip der angeblichen Nothwendigkeit und Allgemeingiltigkeit der ewigen Wahrheiten wissenschaftlich klar vorläge. Das Wort A priori, so lange der Be= griff desselben, der Quellpunct apriorischer Begriffe, mangelt, giebt ihnen keine eigentliche Berechtigung. Deshalb läßt sich nicht sagen, daß die Principien des strengen Wissens bei Leibniz rein hervorträten: also auch nicht die Principien des religiösen Glaubens. Locke und Leibniz stehen gemeinsam auf dem Standpunct einer demonstrativen Erkenntniß des Göttlichen 2), obgleich keine geschichtlich gege= bene Religion, das Christenthum eben so wenig, als andere Religionen, das Überschwengliche und Ewige religiöser Lehren und Verheißungen in Eins wirft mit dem Wissen von den weltlichen Dingen. Indessen ist es von Bedeutung, daß Leibniz den Gottesbegriff mit zu den angeborenen Begriffen rechnet, nicht als einen ruhenden und an und für sich fertigen, sondern in dem Sinne einer Willigkeit, mit welcher der menschliche Geist sich zur Erkenntniß Gottes erhebt und die Lehren der Religion annimmt 3),: ein Begriff, der für die Religionsphilosophie von Wichtigkeit sein dürfte! 1) l. c. p. 41. 2) ib. p. 401 sq. 3) ib. p. 32.

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§. 11. Hume'n ist die Ehre zu Theil geworden, Kant als derjenige unter den Philosophen angesehen zu

sein, deffen Skepticismus zu einer Kritik des gesammten Erkenntnißvermögens dringend auffordere 1). Wenn eine folge→ richtige genaue Entwickelung der Begriffsbestimmungen und Ergebnisse eines Systems, wie allemal, für die Wissenschaft ersprießlich ist, so wird Hume'n in Beziehung auf Locke sein Verdienst verbleiben. Nur von einem höheren speculativen Genius, der sich mit dem Forschungsgeiste Locke's, oder mit der Umsicht und dem Scharfsinne Leibnizens, vergleichen ließe, kann bei Hume nicht die Rede sein. Hume erkennt die Stellung Locke's zur Wissenschaft an und baut auf dessen Grundlegung, zugleich mit Locke'schem Material und auf Locke's Kosten. Die Hauptbegriffe, auf welche Hume seine Aufmerksamkeit richtet, find die Begriffe der Substanz, der Causalität und der Kraft. Die absolute Leerheit des Begriffs der Substanz, sowohl objectiv als fubjectiv, in der äußern und innern Erfahrung, genommen, hat Locke umständlich und mit einer gewissen Vorliebe dargelegt: wie breit fich Hume über den nämlichen Begriff ergehe, mehr kommt bei ihm auch nicht heraus 2). Daß wir von ähnlichen Urfachen ähnliche Wirkungen erwarten, sagt Locke ausdrücklich: der berühmte ursächliche Gewohnheitsbegriff Hume's wiederholt den nämlichen Ausspruch 3). Nicht minder ist der erfahrungsmäßige Begriff der Kraft Locke'n ein speculativer Unbegriff (S. 7): eben so bei Hume 4). In Ansehung der religiösen Begriffe, insbesondere des Beweises für das Dasein Gottes, konnte Locke leicht durch sich selbst widerlegt werden, was ihm von Hume geschicht 5), indem nach Locke's Erkenntnißtheorie, die sich ganz auf Erfahrung gründet, ein Übergang von gegebenen Eristenzen zu anderen, die nicht gegeben sind, als unmöglich erscheint (§. 8). Die hohe Werthschätzung, welche Kant für Hume an den Tag legt, möchte demnach auf sehr zufälligen Anlässen, vielleicht auf dankbarer Erinnerung für die Nuganwendung, die sich Kant aus der Kenntnißnahme der Hume'schen Untersuchung in Betreff der wissenschaftlichen Unhaltbarkeit eines objectiven Empirismus selber geschafft, beruhen.

1) Kant, Proleg. . e. j. künft. Met. S. 7 fl. David Hume, Essays and treatises on sever. sub.

2)

Edin

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