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Assis au Credo, moins le . Et incarnatus... Homo factus est, où l'on est à genoux.

Debout quand on est encensé et pendant la Préface.

A genoux tout de suite après la Préface jusqu'au Pater. Pendant les deux Elévations, on s'incline profondément. (Aux Messes des morts on reste à genoux jusqu'après la Communion.)

Debout au Pater jusqu'à l'Agnus Dei.

A genoux dès le commencement de l'Agnus Dei jusqu'après la Communion.

Assis lorsqu'on chante l'Antienne appelée Communion.

Debout à la Postcommunion (on est à genoux aux Messes des morts).

A genoux en recevant la bénédiction du Prêtre avec le signe de la Croix.

Debout durant l'Evangile.

Les fidèles restent :

Vêpres.

Debout pendant la récitation du Pater, de l'Ave, et le chant du Deus, in adjutorium... jusqu'à sœculorum. Amen. Alleluia, ou Laus tibi.

Assis jusqu'au Magnificat.

Debout au Magnificat.

Assis après Magnificat jusqu'aux Complies. Debout depuis le Jube jusqu'à la fin du Sicut erat. Assis pendant les Psaumes, etc.

Debout au Nunc dimittis et à l'Antienne de la sainte Vierge, ainsi qu'au Pater, Ave et Credo. (Dans les Féries on se met à genoux aux Antiennes à la sainte Vierge, excepté dans le Temps pascal.) Au Salut, à genoux à la première Strophe en l'honneur du saint Sacrement, au Tantum ergo jusqu'après la Bénédiction.

L

DU TRAVAIL

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'HOMME est né pour le travail; l'oisiveté est l'ennemie de toute vertu. Le premier homme même avant le péché, fut mis dans le jardin pour

y travailler. Après qu'il eut péché, une partie de son châtiment et du châtiment de toute sa postérité fut d'être condamné à un travail pénible et à manger son pain à la sueur de son visage. Qui refuse de travailler va contre l'ordre de Dieu.

Il faut que chacun regarde le travail qui est attaché à son état comme étant commandé de Dieu, comme lui étant imposé pour l'expiation de ses péchés, et donné pour mériter la vie éternelle. Ces vues l'engageront à s'y appliquer avec soin, avec joie, dans un esprit d'obéissance et de péni

tence.

Il est bon de commencer son travail par une courte prière, pour l'offrir à Dieu et lui demander la grâce de le bien faire.

Se rappeler de temps en temps la pensée de la présence de Dieu, quand on travaille, est un excellent moyen pour ne rien faire contre son devoir, et aussi pour ne point s'impatienter dans les travaux qui paraîtraient trop pénibles.

DU REPAS

n'est point permis à un chrétien de rechercher,

I'en prenant sa nourriture, le seul plaisir qui con tente le goût. Il la doit prendre pour conserver la vie que Dieu lui a donnée, et pour y trouver le soulagement que demande la nature. Il doit, en la prenant, gémir de ce qu'il est encore sujet aux nécessités humiliantes de cette vie, et soupirer dans l'attente d'une vie immortelle qui ne sera plus sujette à tous ces besoins.

Pendant que le corps se nourrit, l'âme doit faire attention à la nourriture spirituelle. La grâce, la parole de Dieu, la divine Eucharistie, sont le pain quotidien, dont le pain matériel doit faire souvenir tous les jours. Que nous serions heureux de pouvoir dire avec Jésus-Christ: Ma nourriture est de faire la volonté de Celui qui m'a envoyé !

Il ne faut point oublier la pieuse coutume de demander la bénédiction de Dieu avant le repas, et de le remercier après l'avoir pris.

L

DE LA RÉCRÉATION

E corps de l'homme, fatigué par le travail, a besoin de repos, et son esprit, tendu par une longue application, a besoin de se relâcher de temps en temps; c'est ce qu'on appelle récréation. Elle est permise seulement quand elle est une interruption du travail qui a précédé, et une préparation à celui qui doit suivre.

Les Saints mettaient ordinairement leur récréation à s'entretenir de Dieu : ils y trouvaient un saint plaisir, qui était comme un avant-goût ou commencement de la joie solide qu'ils espéraient goûter dans l'éternité.

Si notre faiblesse demande quelque autre récréation, tâchons du moins qu'il ne s'y rencontre rien contre la loi de Dieu. Prenons garde aussi que ce qui nous est accordé pour relâcher notre esprit ne le porte jusqu'à la dissipation, ou ne devienne une occupation plus gênante que le travail même.

L

DES VISITES ET DES CONVERSATIONS

Es visites sont destinées à entretenir l'amitié et l'union; il faut éviter la perte du temps; la nécessité, la bienséance et la charité les doivent régler. Un chrétien devrait visiter volontiers les pauvres et les malades pour les consoler dans leurs peines ces visites sont saintes, et ne sont pas exposées aux inconvénients des visites du monde. Avant que de faire une visite ou d'en recevoir, il faudrait l'offrir à Dieu, prévoir devant lui toutes les fautes que l'on y peut commettre, et lui demander sa protection pour n'y pas tomber.

Les conversations sont le danger des visites mondaines; les flatteries, les mensonges, les paroles inutiles, ou équivoques, ou impures, les médisances et les entretiens dangereux y règnent souvent. Il n'y a rien que le chrétien doive fuir davantage que ces sortes de conversations, qui ne servent qu'à corrompre les bonnes mœurs.

Lorsqu'en notre présence on dit quelque chose qui peut offenser Dieu ou le prochain, si nous avons autorité sur la personne qui parle, usons-en, et faisons-la taire; si nous n'en avons pas, tâchons de changer de discours, ou témoignons par un air triste que ces sortes d'entretiens ne nous plaisent pas; si tout cela ne sert de rien, sortons, retirons-nous; qu'on dise ce que l'on voudra, il faut craindre les jugements de Dieu plus que ceux des hommes. Ne rougissons point de paraître disciples de Jésus-Christ et d'en soutenir les intérêts.

E

PRIÈRES DU MATIN

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.
Ainsi soit-il.

SPRIT-SAINT, venez en nous, éclairez nos âmes de vos lumières, et embrasez nos cœurs de votre divin amour.

Mettons-nous en la présence de Dieu, adorons-le, et remercions-le de tous ses bienfaits.

D'E

ACTE D'ADORATION

IEU éternel et tout-puissant, Père, Fils, et SaintEsprit, je vous adore et je vous reconnais pour souverain Seigneur et maître de tout ce qui est au ciel et en la terre; je suis votre créature; je vous dois tout ce que je suis; je confesse qu'il n'y a point d'autre Dieu que vous; j'honore de tout mon cœur votre domaine souverain, et j'aime à dépendre de vous en toutes choses.

ACTE DE REMERCÎMENT

JON Dieu, je vous remercie très-humblement de M toutes les grâces que vous m'avez faites jusqu'à présent, et particulièrement de m'avoir créé à votre image et ressemblance, de m'avoir racheté par le

sang précieux de votre Fils, de m'avoir fait chré– tien et enfant de l'Eglise catholique, apostolique et romaine, et de m'avoir conservé durant cette nuit.

ACTE DE CONTRITION

ST-IL possible, ô mon Dieu! que je vous aie si malheureusement offensé, en abusant de vos bienfaits avec tant d'ingratitude et d'injustice! Je m'en repens de tout mon cœur, et je vous en demande très-humblement pardon, par Notre-Seigneur Jésus-Christ.

ACTE D'AMOUR

Dieu, je vous aime sincèrement, par-dessus

M toutes les créatures, et plus que moi-même;

je me sacrifie tout à vous, et je suis résolu de tout perdre et de tout souffrir plutôt que de vous déplaire et de vous offenser jamais.

ACTE D'OFFRANDE

ON Dieu, je vous offre la journée que je comM mence; je vous demande la grâce de l'employer

à votre service et à mon salut; je vous consacre mes pensées, mes paroles et mes actions; je les unis à celles de votre Fils bien-aimé Notre-Seigneur Jésus-Christ, et je vous supplie de donner votre bénédiction à mon travail. Eloignez de moi les occasions de vous offenser; délivrez-moi de tous les dangers spirituels et corporels qui m'environnent, et faites-moi la grâce d'accomplir avec amour votre sainte volonté.

L'ORAISON DOMINICALE

Patuum. Adveniat reguum tuum. Fiat voluntas ATER noster, qui es in cœlis, sanctificétur nomen tua, sicut in cœlo et in terra. Panem nostrum quotidiánum da nobis hódie. Et dimitte nobis débita nostra, sicut et nos dimittimus debitóribus nostris. Et ne nos indúcas in tentatiónem. Sed libera nos a malo. Amen.

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