Œuvres de Molière, เล่มที่ 6H. Nicolle, 1812 |
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... . L'AMOUR . ZÉPHIRE . ÉGIALE , Grâce . PHAENNE , Grâce . LE ROI , père de Psyché . PSYCHÉ . AGLAURE , sœur de Psyché . CYDIPPE , sœur de Psyché . CLEOMÈNE , prince , amant de Psyché . AGÉNOR , PERSONNAGES DU PROLOGUE .
... . L'AMOUR . ZÉPHIRE . ÉGIALE , Grâce . PHAENNE , Grâce . LE ROI , père de Psyché . PSYCHÉ . AGLAURE , sœur de Psyché . CYDIPPE , sœur de Psyché . CLEOMÈNE , prince , amant de Psyché . AGÉNOR , PERSONNAGES DU PROLOGUE .
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... CYDIPPE . AGLAURE . : Il est des maux , ma sœur , que le silence aigrit : Laissons , laissons parler mon chagrin et le vôtre ; Et de nos cœurs l'un à l'autre Exhalons le cuisant dépit . Nous nous voyons sœurs d'infortune ; Et la vôtre ...
... CYDIPPE . AGLAURE . : Il est des maux , ma sœur , que le silence aigrit : Laissons , laissons parler mon chagrin et le vôtre ; Et de nos cœurs l'un à l'autre Exhalons le cuisant dépit . Nous nous voyons sœurs d'infortune ; Et la vôtre ...
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... CYDIPPE . Ah ! ma sœur , c'est une aventure A faire perdre la raison ; Et tous les maux de la nature Ne sont rien en comparaisor . AGLAURE . Pour moi , j'en suis souvent jusqu'à verser des larmes . Tout plaisir , tout repos , par - là m ...
... CYDIPPE . Ah ! ma sœur , c'est une aventure A faire perdre la raison ; Et tous les maux de la nature Ne sont rien en comparaisor . AGLAURE . Pour moi , j'en suis souvent jusqu'à verser des larmes . Tout plaisir , tout repos , par - là m ...
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... CYDIPPE . Ma sœur , voilà mon martyre . Dans vos discours je me voi ; Et vous venez là de dire Tout ce qui se passe en moi . AGLAURE . Mais encor , raisonnons un peu sur cette affaire . Quels charmes si puissants en elle sont épars ? Et ...
... CYDIPPE . Ma sœur , voilà mon martyre . Dans vos discours je me voi ; Et vous venez là de dire Tout ce qui se passe en moi . AGLAURE . Mais encor , raisonnons un peu sur cette affaire . Quels charmes si puissants en elle sont épars ? Et ...
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... CYDIPPE . Qui ? vous , ma sœur ? Nullement . Hier à la chasse , près d'elle , Je vous regardai long - temps : Et sans vous donner d'encens , Vous me parûtes plus belle . Mais , moi , dites , ma sœur , sans me vouloir flatter , Sont - ce ...
... CYDIPPE . Qui ? vous , ma sœur ? Nullement . Hier à la chasse , près d'elle , Je vous regardai long - temps : Et sans vous donner d'encens , Vous me parûtes plus belle . Mais , moi , dites , ma sœur , sans me vouloir flatter , Sont - ce ...
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คำและวลีที่พบบ่อย
AGÉNOR AGLAURE aime Allons amant âme amour ANDRÉE ANGÉLIQUE appas ARGAN ARISTE ARMANDE assez auroit avez avoit beauté beaux BÉLINE BÉLISE belle BÉRALDE bergers chanter charmes choses CHRYSALE ciel Cléante CLÉOMÈNE CLIMÈNE CLITANDRE cœur comédie COMTESSE D'ESCARBAGNAS connoître CRIQUET CYDIPPE dansants DAPHNÉ Dieu dire donne DORILAS douceur doux ÉGIALE ENTRÉE DE BALLET esprit Est-ce êtes étoit FEMMES SAVANTES fille flamme FLORE foiblesse frère gens gloire HARPIN HENRIETTE HOMME affligé impertinent INTERMÈDE j'ai JEANNOT JULIE L'AMOUR l'esprit laisse laquais LOUISON m'en madame mademoiselle Du Parc MALADE IMAGINAIRE mariage MARTINE médecin Molière monsieur Bobinet monsieur Purgon monsieur Tibaudier monsieur Trissotin notaire parler paroît père personne PHILAMINTE plaisirs POLICHINELLE prendre PSYCHÉ qu'à QUATRE ARCHERS raison rien s'il vous plaît sais SCÈNE VII seroit sœur soins sorte souffrir soupirs tendresse THOMAS DIAFOIRUS TIBAU TIRCIS TOINETTE VADIUS Vénus veut veux VICOMTE VIOLONS vœux voilà vois voulez-vous vouloir yeux Zéphire
บทความที่เป็นที่นิยม
หน้า 148 - M'ôter, pour faire bien, du grenier de céans, Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
หน้า 150 - Qui de ce mauvais air n'était point infectée, Et voilà qu'on la chasse avec un grand fracas A cause qu'elle manque à parler Vaugelas. Je vous le dis, ma sœur, tout ce train-là me blesse (Car c'est, comme j'ai dit, à vous que je m'adresse;) Je n'aime point céans tous vos gens à latin, Et principalement ce Monsieur Trissotin.
หน้า 118 - Quand sur une personne on prétend se régler, C'est par les beaux côtés qu'il lui faut ressembler '; Et ce n'est point du tout la prendre pour modèle, Ma sœur, que de tousser et de cracher comme elle.
หน้า 125 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout : Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent, aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait : De son élude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache , Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
หน้า 62 - Je le suis , ma Psyché , de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte, j'en murmure : L'air même que vous respirez * Avec trop de plaisir passe par votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche; Et, sitôt que vous soupirez , Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
หน้า 56 - A peine je vous vois, que mes frayeurs cessées Laissent évanouir l'image du trépas, Et que je sens couler dans mes veines glacées Un je ne sais quel feu que je ne connais pas. J'ai senti de l'eStime et de la complaisance, De l'amitié, de la reconnaissance; De la compassion les chagrins innocents M'en ont fait sentir la puissance; Mais je n'ai point encor senti ce que je sens.
หน้า 147 - Et quelle indignité, pour ce qui s'appelle homme, D'être baissé sans cesse aux soins matériels , Au lieu de se hausser vers les spirituels! Le corps, cette guenille, est-il d'une importance, D'un prix à mériter seulement qu'on y pense? Et ne devons-nous pas laisser cela bien loin ? C1IRVSALE. Oui , mon corps est moi-même , et j'en veux prendre soin : Guenille, si l'on veut; ma guenille m'est chère.
หน้า 39 - J'en ai fait de ce cœur le charme et l'allégresse, La consolation de mes sens abattus , Le doux espoir de ma vieillesse. Ils m'ôten.t tout cela, ces dieux ; Et tu veux que je n'aie aucun sujet de plainte Sur cet affreux arrêt dont je souffre l'atteinte ! Ah ! leur pouvoir se joue avec trop de rigueur Des tendresses de notre cœur. Pour m'ôter leur présent, leur...
หน้า 175 - Qui, des premiers venus saisissant les oreilles, En fait le plus souvent les martyrs de ses veilles. On ne m'a jamais vu ce fol entêtement...
หน้า 161 - Votre, prudence est endormie, De traiter magnifiquement, Et de loger superbement Votre plus cruelle ennemie.