Œuvres de Molière, เล่มที่ 6H. Nicolle, 1812 |
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... vois ma victoire et mes droits disputés Par une chétive mortelle ! Le ridicule excès d'un fol entêtement Va jusqu'à m'opposer une petite fille ! Sur ses traits et les miens j'essuîrai constamment Un téméraire jugement ; Et , du haut des ...
... vois ma victoire et mes droits disputés Par une chétive mortelle ! Le ridicule excès d'un fol entêtement Va jusqu'à m'opposer une petite fille ! Sur ses traits et les miens j'essuîrai constamment Un téméraire jugement ; Et , du haut des ...
หน้า 21
... vois que vos cœurs se mettent . Vous aimez un objet dont les riants appas Mêleront des chagrins à l'espoir qu'ils vous jettent ; Et son cœur ne vous tiendra pas Tout ce que ses yeux vous promettent . CYDIPPE . L'espoir qui vous appelle ...
... vois que vos cœurs se mettent . Vous aimez un objet dont les riants appas Mêleront des chagrins à l'espoir qu'ils vous jettent ; Et son cœur ne vous tiendra pas Tout ce que ses yeux vous promettent . CYDIPPE . L'espoir qui vous appelle ...
หน้า 25
... vois un mérite à s'opposer lui - même A ce que vous voulez de moi . Ce n'est pas à mon cœur qu'il faut que je défère , Pour entrer sous de tels liens : Ma main , pour se donner , attend l'ordre d'un père , Et mes sœurs ont des droits ...
... vois un mérite à s'opposer lui - même A ce que vous voulez de moi . Ce n'est pas à mon cœur qu'il faut que je défère , Pour entrer sous de tels liens : Ma main , pour se donner , attend l'ordre d'un père , Et mes sœurs ont des droits ...
หน้า 26
... vois l'un de vous prendre une destinée A me faire trop de pitié . Oui , princes , à tous ceux dont l'amour suit le vôtre Je vous préférerois tous deux avec ardeur ; Mais je n'aurois jamais le cœur De pouvoir préférer l'un de vous deux à ...
... vois l'un de vous prendre une destinée A me faire trop de pitié . Oui , princes , à tous ceux dont l'amour suit le vôtre Je vous préférerois tous deux avec ardeur ; Mais je n'aurois jamais le cœur De pouvoir préférer l'un de vous deux à ...
หน้า 37
... vois point ce qui me reste . PSYCHÉ . Vous savez mieux que moi qu'aux volontés des dieux , Seigneur , il faut régler les nôtres ; Et je ne puis vous dire , en ces tristes adieux , Que ce que beaucoup mieux vous pouvez dire aux autres ...
... vois point ce qui me reste . PSYCHÉ . Vous savez mieux que moi qu'aux volontés des dieux , Seigneur , il faut régler les nôtres ; Et je ne puis vous dire , en ces tristes adieux , Que ce que beaucoup mieux vous pouvez dire aux autres ...
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คำและวลีที่พบบ่อย
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บทความที่เป็นที่นิยม
หน้า 148 - M'ôter, pour faire bien, du grenier de céans, Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
หน้า 150 - Qui de ce mauvais air n'était point infectée, Et voilà qu'on la chasse avec un grand fracas A cause qu'elle manque à parler Vaugelas. Je vous le dis, ma sœur, tout ce train-là me blesse (Car c'est, comme j'ai dit, à vous que je m'adresse;) Je n'aime point céans tous vos gens à latin, Et principalement ce Monsieur Trissotin.
หน้า 118 - Quand sur une personne on prétend se régler, C'est par les beaux côtés qu'il lui faut ressembler '; Et ce n'est point du tout la prendre pour modèle, Ma sœur, que de tousser et de cracher comme elle.
หน้า 125 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout : Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent, aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait : De son élude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache , Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
หน้า 62 - Je le suis , ma Psyché , de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte, j'en murmure : L'air même que vous respirez * Avec trop de plaisir passe par votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche; Et, sitôt que vous soupirez , Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
หน้า 56 - A peine je vous vois, que mes frayeurs cessées Laissent évanouir l'image du trépas, Et que je sens couler dans mes veines glacées Un je ne sais quel feu que je ne connais pas. J'ai senti de l'eStime et de la complaisance, De l'amitié, de la reconnaissance; De la compassion les chagrins innocents M'en ont fait sentir la puissance; Mais je n'ai point encor senti ce que je sens.
หน้า 147 - Et quelle indignité, pour ce qui s'appelle homme, D'être baissé sans cesse aux soins matériels , Au lieu de se hausser vers les spirituels! Le corps, cette guenille, est-il d'une importance, D'un prix à mériter seulement qu'on y pense? Et ne devons-nous pas laisser cela bien loin ? C1IRVSALE. Oui , mon corps est moi-même , et j'en veux prendre soin : Guenille, si l'on veut; ma guenille m'est chère.
หน้า 39 - J'en ai fait de ce cœur le charme et l'allégresse, La consolation de mes sens abattus , Le doux espoir de ma vieillesse. Ils m'ôten.t tout cela, ces dieux ; Et tu veux que je n'aie aucun sujet de plainte Sur cet affreux arrêt dont je souffre l'atteinte ! Ah ! leur pouvoir se joue avec trop de rigueur Des tendresses de notre cœur. Pour m'ôter leur présent, leur...
หน้า 175 - Qui, des premiers venus saisissant les oreilles, En fait le plus souvent les martyrs de ses veilles. On ne m'a jamais vu ce fol entêtement...
หน้า 161 - Votre, prudence est endormie, De traiter magnifiquement, Et de loger superbement Votre plus cruelle ennemie.