cunes trop étendues ce parallélisme cesse d'être distinct à nos yeux, sans rien retrancher du texte copte, nous omettons la traduction de ce qui n'apparaît plus qu'isolé de l'ensemble. 1 Zoega possède à la page 246 une partie de ce document à partir de cet endroit. Nous en indiquerons les variantes. 1 Zoega lit: TENT&Y ES ENKOCUOC ETLE nor285 ππpareε E&y hopes nоrc&pe, &q CynSICE &rur 89 vor, &9 rworn. . . . . 2 Zoega ajoute & good & roRNAU Umesu, et il continue: N&] ENĦY EKрINE NNET Ong UN NET Moorr. 3 : Zoega a ici la formule plus complète : &rur YN NICTEYE ENENN& Eтor&&h прegr&ngo NETNнr Eboλg NE. Dans le grec on lit simplement : « et au Saint-Esprit. » 4 .. Zoega a ici: NET XUWWDC XE &r ordercy сусите пунре щооп сооп и по пунре & Xe ñr&quyaime eboλ¿ñ1 nere Ñ(C)e woon AN2. ♬ EBOλAN KE Orci&3. Erxwwvoc En OYCIA 1 Zoega a: Eĥo nere ny goon &n. 2 Adde: H Ehoλ¿Ñ KE SYNOCY&Cic. 3 Zoega a ici simplement: H E. Mais à la suite d'un credo analogue à la page 242 on lit à l'endroit correspondant : EY XOC Encyярe ΜΠΙΟΥΤΕ ΧΕ... |